je sens encore les larmes qui ont traversés mes joues vers mon cœur. La brutalité de cette vérité, portée par les mots, m’a transpercée. Une vérité que l’on cache, que l’on tait, que l’on préfère ne pas voir, parce que si tu ne veux pas savoir, tu ne sauras pas. Et même si tu sais… que peux-tu y faire ? J’ai mal pour Georges mais surtout pour tout les protagonistes qui représentent ces peuples en guerres dont on tait le nom. Si tu ne veux pas savoir tu ne sais pas et même si tu sais, tu n’y peux rien. Un drame dans le sens premier du mot. Peut être aurions nous voulus que le chœur raconte une autre histoire mais ça serait nous mentir à nous lecteurs, à nous être en paix. Merci Georges, merci Sorj. De m’avoir offert un bout de cette vérité violente, que je garderai avec moi, pour rester consciente.