Lafitte laissa échapper ce mot, « désormais, ce sera le règne des banquiers »
révélant ainsi le secret de la révolution.


Au début du néolithique, les hommes se regroupant en tribus, commencent la fabrication d'armes, d'outils, à cultiver, élever des animaux, ils utilisaient le troc, moyen de paiement consistant à échanger des biens ou des services contre d'autres biens et services, ce système trouva une limite, menant à beaucoup de désaccord, l'offre ne rencontrait pas forcément la demande.


L'argent fut la solution à ce problème, résolvant le problème par une unité d'échange
commun permettant ainsi la conversion d'un bien, d'un service, en valeur échangeable sous la forme d'or, représentant, témoignant un labeur, une durée d'existence envolée.


Constatant la valeur que l'on accordait à l'or, les banquiers proposèrent d'échanger l'or contre des biens et services en instaurant des valeurs standards, les pièces d'or attirant la convoitise, les banquiers proposèrent également la protection d'or, qu'il entreposèrent dans leur cryptes et coffres, et cela, à faible coût.
Ainsi, les banques utilisèrent un « témoignage » représentant l'or entreposé, ce que l'on nomme « billets », permettant aux individus de « conserver » la valeur de l'or sans en avoir possession.


Une Inflation de l'or par les commerçant constatant l'intérêt qu'il représentaient vis le jour, réduisant au fur et à mesure la valeur du billet, cela se traduit pour les « clients »
par une nécessité de travailler plus pour gagner moins, les banques flairant la bonne astuce créèrent de nouveaux billets sans avoir d'avantage d'or, s'enrichissant illégalement.


C'est l'un, sinon le plus grand vol de l'humanité.


La question dont il est issue dans « la lutte des classes » de marx est l'évolution,
l'évolution de cette société, notamment des personnes la composant, qui, visiblement, cherchent à travers et après la révolution à s’émanciper de ses entraves vampiriques.


Karl Marx se propose au travers de ce livre une répondre, et ce, au travers de l'histoire et des conflits géo-politique de l'époque, à l'aide de son ami Friedrich Engel il établira une vision d'ensemble.


La révolution n'étant qu'une manœuvre de l'aristocratie financière conquérant le pouvoir par la légitimité de l'argent, la ressource ultime qui fit plier le monde,le gouvernement frémissait sous le déficit croissant et devait recourir à un moyen valable, « héroïque » de justifier un nouvel impôt, il était hors de question de l'imposer au loup de la bourse, aux rois de la banque, au créanciers de l'état, aux rentiers ou encore aux industriels, cela risquais de mettre en péril le crédit public et le crédit commercial, celui qui fut sacrifié fut le paysan, ce dernier payant le prix de la révolution de février, révolution qui avait bénéficié à tous.


Le manque d'exploitation essentiel tel que l'agriculture se faisant de plus en plus présent, sous contrainte d'argent, de connaissance et de l'écrasant impôt national sur la classe paysanne, laissa Marx imaginer un renversement du capital, et ce, avec un gouvernement prolétarien, anticapitaliste, pouvant briser la misère économique et la déchéance sociale de l'époque


[flemme d'écrire la suite e_e]

Kyslegiøn
7
Écrit par

Créée

le 24 oct. 2015

Critique lue 242 fois

2 j'aime

Kyslegiøn

Écrit par

Critique lue 242 fois

2

D'autres avis sur Les Luttes de classes en France

Les Luttes de classes en France
batman1985
5

Indifférence totale

Livre que je n'aurai jamais lu s'il n'était pas proposé en supplément du Manifeste du Parti Communiste. Karl Marx évoque ici La Lutte des Classes en France, lutte entre la bourgeoise, la puissance...

le 25 sept. 2020

1 j'aime

Les Luttes de classes en France
Ludovic_L
7

Retour sur les évènements de 1848-1850

Ma deuxième lecture de Marx qui analyse les événements qui ont suivi la révolution de 1848. Le texte est très précis sur le déroulement de ces 2 années qui ont suivi la révolution et qui ont vu une...

le 14 janv. 2016

1 j'aime

Du même critique

La question de la souveraineté
Kyslegiøn
5

La Question de la souveraineté.

Une autorité est dite souveraine quand elle est la plus haute en son domaine, vient alors la question de son absoluité, cette question est sujette à diverses réponses, en observant les systèmes...

le 23 sept. 2015

Le Prince
Kyslegiøn
8

“Les hommes, un mâle nécessaire...”

« Parce que des hommes, on peut généralement dire ceci, qu’ils sont ingrats, inconstants, simulateurs, et dissimulateurs, fuyards devant les périls, avides de gains… » Nous enseigne...

le 30 oct. 2015