En août, j’ai lu les sept sœurs... Bon, y a du plus et du moins.
En gros c’est l’histoire de sept filles, adoptées par un homme riche et mystérieux, qui ont passé leur enfance dans une somptueuse demeure à Genève (d’ailleurs ça fait rêver, quand même). Un jour, le père meurt et laisse à chacune de ses filles des indices pour retrouver leurs origines. Ce premier roman se concentre sur le point de vue de l’ainée : Maïa. Une très jolie trentenaire, pas sûre d’elle du tout, la seule des sœurs à être restée vivre à la maison, les autres étant parties aux quatre coins du monde pour vivre leur vie. Mais, pour échapper à un ex, elle se décide enfin à se lancer dans l’aventure pour retrouver ses origines et percer les secrets de sa propre vie.
Cette saga a eu un succès fou, et du coup je dois avouer que je m’attendais à mieux. J’ai été un peu déçue par la lecture que j’ai trouvé un brin trop cliché. Les personnages manquent peut-être de profondeur, aussi…
En fait, j’ai surtout été emportée à partir de la seconde moitié du roman, que j’ai lue très rapidement. J’ai bu les pages comme une bonne limonade rafraichissante. Je recommande d’ailleurs de le lire en vacances : c’était parfait pour décompresser tranquille sur le transat ! On découvre le Brésil des années 1920 et celui d’aujourd’hui, c’est dépaysant et intéressant. Et puis quand ça parle d’amour, moi j’aime bien, c’est comme ça.
Maintenant était-ce bien au point de me donner envie de lire les tomes suivants ? Je ne sais pas, j’hésite… Pas tout de suite, en tout cas. Mais heureuse tout de même d’avoir découvert cette histoire.