Critique de Maximes par Emphiris
Quand on aborde la littérature du XVIIe, forcément je ne peux PAS être objective. L'élégance du style, la pertinence des travers dépeints encore aujourd'hui, que veux-tu, je kiffe grave.
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le 6 mars 2011
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le 10 nov. 2011
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Quand on aborde la littérature du XVIIe, forcément je ne peux PAS être objective. L'élégance du style, la pertinence des travers dépeints encore aujourd'hui, que veux-tu, je kiffe grave.
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le 6 mars 2011
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Mais où se cache l'amour ? François de La Rochefoucauld ne le trouve nulle part. Armé d'une loupe (cadeau de Baruch Spinoza), il débusque l'amour-propre et l'intérêt, aux sources de nos actes. Au...
le 14 oct. 2016
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Les « Maximes » se lisent vite et leur sens de la formule, vif et percutant fait souvent mouche. On est saisi par la vision si pessimiste de l’âme humaine que révèle le duc, mais également gêné par...
le 23 déc. 2021
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On a reproché ici même à Kundera de se complaire dans la méta-textualité, de débiter des truismes à la pelle, de faire de la philosophie de comptoir, de ne pas savoir se situer entre littérature et...
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le 11 mars 2013
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le 6 mai 2012
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le 22 mars 2017
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