J'ai, adoré, comme j'ai rarement adoré. Premier degrés (mon appréciation, et non le contenus du livre) sois dit en passant.


Un livre particulier, puisque toujours ressorti n'importe comment, entre ceux qui se moquent simplement, et ceux qui le prenne au pieds de la lettre dans ce qu'il doit être.

Je précise que j'ai cette édition, avec la post-face de "Lauren Bastide", qui, étonnamment parle avec justesse sur les 2/3, puis ce souvenant de ses intérêts de classes, tombe dans la demi-mesure du "bof ca se vaux en sois", du rattrapage sur ses idées, et de la comparaison avec " Moi les hommes, je les déteste" (deux critique, ici et ici) et "Du génie lesbiens", ou de Virginie Depentes... Devinez ce qui unis ses 4 femme, et qui les différencie de Valerie Solanas ?

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Bravo (ou pas), leur classe social ! Non parce que Solanas, c'est une sorte d'utopiste radical, qui souhaite se débarrasser des hommes pour se débarrasser de l'injustice, les quatres, je ne suis pas sur que vous en ailler quelque chose a fichtre du travail, et des femmes qui travaillent... Ha, j'oublie, par travail, je parle de la racine du mot, celui dérivé de torture, donc pas la posture de ses petit Bourgois (qui sont convaincus d'autant, si ce n'est plus souffrir que la classe laborieuse ! Pourça que je suis pret a prendre leur travail pour souffrir a leur place, suis-je bon)...
Bref, arretez...

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En sois, pour ce qui est de la véracité du livre, je dois m'opposer à deux critiques :

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La première du pourquoi pas, qui vois dans se fouillis les idées fascisant (non pas dans leurs dénouement, mais simplement parce que ca leur plait en tant que telle), et qui les ressortent, en oubliant que la base essentialiste, dans la simple constatation des faits fonctionne aussi pour le racisme, la discrimination sur l'orientation sexuel, et tout ce qui a pour base l'essentialiste simplement... Donc j'espère qu'aucune personne ne reprendrais se livre se venterais d'être progressiste...

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La seconde viens de la réfutation de ses déductions, qui par contre, sont parfaitement juste. Si l'on se place simplement dans ses exposés, oui, c'est juste - ca se tiens.

Personnellement, c'est que je ne suis pas d'accord avec les postulats de départ le problèmes, mais quand on tacles les conclusions et non le postulat, cela me dérange, sachant que c'est la que l'on peut nuancé, même mieux, appeler a savoir si cela est vrai ou un biais.

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En sois la note étonne, et de ce que j'ai dis, on peut pensé que je me moque d'elle. Et franchement, j'ai ris.... C'étais tellement de fois drole, tellement, c'étais poussé dans un extreme délirant, clairement impossible de resté passif ! Par contre.

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Je n'ai jamais rie d'elle. Elle ne me fais pas rire a ses dépends, non, clairement, aussi peu d'accord que je puisse être, je ne la trouve pas ridicule, au bien au contraire, elle m'est extrêmement emphatique.

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Est-ce un bon livre ? Non. Une bon livre de philosophie ? Non. Adore-je l'autrice, ai-je eu un plaisirs incroyable, une fascination pour cet écrit et pour son écrivaine : Oui.
Je, l'adore, et, c'est impossible de dire a quel point j'us donner pour qu'elle puisse allez plus loin.. Dans ce qu'elle veux, qu'elle pofine vraiment la philosophie, qu'elle aille au cinéma, au théâtre, en littérature, peu m'importe, mais j'us tant, mais tant aimé pourvoir en avoir plus d'elle, personnage au combien passionnant, et qui m'a, sans ironie, marqué dans ce que je ne pouvais pas imaginer.

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Sans appliquer le livre au premier degrés, c'est a lire, ne serait-ce que pour la haine incroyable que chaque page fournis, puisque du début a la fin, jamais il n'est de pose dans le mépris infinis qu'elle porte au monde, c'est, facinant.

Et si jamais, dans un genre proche, mais plus interessant, il y a le roman de Joyce Carol Oates, Confessions d'un gang de filles, qui, on s'en, s'inspire de l'esprit de revolte des années 60, tout en restant un peu critique face a ça.

SlowCoffee
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le 20 nov. 2023

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