Haletant
Troisième et peut être dernier volume de la série Coste, ce tome est le plus sombre et haletant des trois, le livre prend son temps, mais ne cesse de monter en tension au fil des pages. S'être...
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le 24 janv. 2020
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J'avais avalé Impact, bien aimé et déjà tremblé avec Code 93, bouleversé et glacé d'effroi par l'enfant tueur de Territoire, mais avec Surtension on franchit encore un cap, il n'y a plus d'espoir, plus de petite lueur d'espoir du coup je comprends que le Capitaine parte loin dans le désert glacé.
J'ai refermé le bouquin hier et mon impression de lecteur est d'avoir vécu une expérience brechtienne tel que Peter Brook l'a, un jour, définie.
Asseoir un spectateur confortablement et lui envoyer un coup de poing dans la figure pour ensuite le réconforter avant de lui renverser un seau d'eau glacé sur la tête et ainsi de suite.
Le roman constitue une série de chocs émotionnels aussi violents que contradictoires on est chamboulés, bousculés jusqu'au traumatisme et au final rendus à nous même avec la lancinante question d'une conscience meurtrie "Et moi que fais-je pour se monde qui tourne si mal?"
En troquant son flingue pour une plume Norek nous rend service en secouant, à coup de lattes, nos consciences assoupies mais bon dieu des fois on voudrait bien rester tranquille dans son coin en regardant ailleurs pendant que le monde flambe.
Créée
le 19 sept. 2021
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Troisième et peut être dernier volume de la série Coste, ce tome est le plus sombre et haletant des trois, le livre prend son temps, mais ne cesse de monter en tension au fil des pages. S'être...
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le 24 janv. 2020
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J'aurais préféré lire la trilogie dans l'ordre, mais j'ai récupéré ce troisième volet avant le second ("Territoires"), et puis chaque intrigue étant indépendante, ce n'est pas très gênant. On sent...
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le 23 mars 2022
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La joie de retrouver Coste et sa section crim, c'est comme avoir laissé une bande de pote le temps d'un (long) voyage et de les retrouver à l’aéroport :D Une fois n'est pas coutume Olivier Norek...
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le 1 avr. 2016
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Je viens de découvrir qu'il n'est pas possible sur SC de faire 2 critiques de la même œuvre. Je viens donc de supprimer ma précédente fiche pour vous proposer ici de nous intéresser au colonel Sponsz...
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Un ado aux cheveux ébouriffé rêvant de folles chevauchées se prenant certains jours pour le général Lasalle chargeant une dernière fois à Wagram (moi) emprunta un jour au CDI de son lycée, séduit par...
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