Ce n’est pas le genre de littérature vers lequel je me tourne habituellement. Toutefois, sa brièveté a su éveiller ma curiosité et m’a poussé à m’y plonger.
Le livre explore des thématiques qui ont su éveiller ma curiosité, notamment la condition des femmes sous un régime phallocratique, ainsi que le pouvoir salvateur des mots. À travers ses confessions, la protagoniste parvient à retrouver un semblant de liberté intérieure, une lumière fragile mais précieuse dans un contexte oppressif.
L’œuvre invite également à une réflexion sur la dynamique des rapports de pouvoir et le poids écrasant des traditions.
Ma culture étant loin - très loin - de tout ce qui se rapproche de l’Afghanistan, je m’abstiendrai de porter un jugement sur leurs mœurs ou leur religion. Néanmoins, il m’est difficile de ne pas percevoir ces pratiques comme profondément archaïques, témoins d’une époque que l’on espère voir évoluer.
À méditer.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste littérature classique
Créée
le 25 janv. 2025
Critique lue 3 fois
Syngué Sabour c'est la voix d'une femme, où plutôt même des femmes. Elle qui n'à pas de nom, mais qui s'autorise pour la première fois à parler pourrait être n'importe laquelle de ces femmes, prises...
Par
le 3 déc. 2014
6 j'aime
Un livre agréable. Un long monologue d'une femme jadis contrainte au silence qui se lâche enfin. A son mari plongé dans le coma, elle dit tout ce qu'elle a sur le cœur, ses angoisses, ses secrets,...
Par
le 28 juin 2012
6 j'aime
Une merveille. Afghanistan, la guerre. Atmosphère étouffante pour ce huit-clos tragique où toute la souffrance d'une femme va s'exprimer devant le corps inerte de son mari sombré dans le coma. Syngué...
le 22 mars 2012
4 j'aime
Une romancière qui tente de jouer les sociologues… Mauvaise idée. Elle aurait mieux fait de rester dans son domaine, car elle ne fait que débiter des évidences : que tu sois au SMIC ou cadre, tu dois...
Par
le 3 nov. 2024
1 j'aime
L’univers est sympa, même s’il peut paraître abscons à cause de la plume d’Atwood, qui va droit au but mais manque, à mon goût, d’un style particulier. L’histoire s’arrête tôt, sans qu’on sache...
Par
il y a 5 jours
En ce 9 février 2025, j’étais fiévreux. Pour passer le temps, je me suis laissé tenter par cette nouvelle. Si l’on connaît un peu la vie – et la mort – de Stefan Zweig, ce n’est pas une surprise que...
Par
le 10 févr. 2025
