La science-fiction télévisuelle souffre en général d'un manque de renouvellement, que ce soit de ses thèmes ou de ses angles d'attaque. Il y a pourtant tant à dire, en prenant des sujets tels que le transhumanisme, les médias sociaux, les récentes découvertes astronomiques, la matière noire,...
Black Mirror a choisi de s'intéresser à notre dépendance aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. La série le fait avec un léger humour anglais, un goût prononcé pour la satire, beaucoup de trouvailles visuelles, de retournements de situation et de réflexion.
Après un premier épisode atypique qui doit être vu comme une mise en bouche, la série déploie vraiment son univers avec son deuxième épisode.
C'est tellement bon que je m'en vais lire les articles de Brooker dans The Gardian.