Critique Euphoria

Introduction :

On m'avait prévenu qu'il y aurait un avant Euphoria et un après Euphoria, que l'œuvre provoquerait un changement dans ma vie. J'étais loin de m'imaginer qu'il avait raison à ce point. La série est diffusé sur HBO depuis juin 2019, deux saisons sont disponible depuis 2023. Le titre Euphoria est tiré du terme euphorie, il désigne un état mental caractérisé par de la joie, de l'exaltation, une sensation de bien-être et/ou une intense satisfaction.

Premier ressenti :

En regardant les premiers épisodes, je pensais que la série aller être une nouvelle vulgarisation de la jeunesse (lycéen) Américaine, je m'attendais à des embrouilles enfantines, un peu dans le genre de Riverdale. Mais finalement je me suis vite rendu compte de la gravité des problèmes, Rue, 17 ans, est déjà une toxico, addict à la cocaïne principalement mais ne refuse aucune autre drogue pour s'évader de son quotidien qu'elle présente comme pourri. La série utilise une approche mature des sujets, chaque personnage, Jules, Cassie, Nate (liste exhaustive), ont des problèmes majeurs, identités, sentimentales, familiales, qu'ils devront surmonter, régler tout au long de la série.

Attachement auprès des personnages :

Rue trouve finalement un échappatoire à son addiction, Jules, un rayon de soleil dans la nuit à mes yeux à aux yeux de Rue. Une relation fusionnel s'impose un peu par hasard mais devient plus que logique quelques épisodes après leur rencontre, la nouvelle drogue de Rue, c'est Jules.

j'ai pas fini