And so they spoke

Saison 7

Bon ben on s’approche de la fin mine de rien. HBO commence à mettre les bouchées-double afin de conclure sa série phare. Il en résulte une septième saison qui, au final, se présente comme l’une des meilleures de la série. Alors certes, ça va beaucoup plus vite, l’intrigue en soit est moins subtile dans ses grandes lignes et devient moins prévisible (également parce que bon, on commence à savoir comment ça fonctionne mais aussi les éléments mis en place avant finissent par se rejoindre de façon logique). Donc il n’y aura paradoxalement pas grand-chose à dire sur la saison, car il y aura beaucoup de fan-service ici et là.

Les intrigues autrefois séparées finissent par ‘en faire qu’une, ce qui symbolisera le plus cette saison à mon sens : on y voit enfin les grandes réunions tant attendues entre personnages depuis des épisodes, voire des saisons entières (si ce n’est toute la série).Donc pour ma part, je me suis plutôt régalé une nouvelle fois. Bien sûr, il y a certaines facilités prises ici et là, mais bon voilà, on se régale du coup on profite. On aura droit à quelques scènes de batailles épiques, à des moments de jouissance diabolique, de l’excitation, de la tristesse, ou tout simplement de la contemplation magnifique.

Le tout s’accompagne d’un casting qui sait désormais quoi faire et quand le faire, et c’est techniquement toujours aussi impressionnant. La musique de Ramin Djawadi reprendra les grands thèmes comme toujours, la mise en scène sera épique et spectaculaire et les effets spéciaux bluffant. Réellement. Car j’ai eu la chance de voir au final 3 épisodes sur 7 en Ultra HD 4K sur un grand écran, et c’est tout bonnement incroyable la qualité des images et des CGI, largement au niveau des plus gros blockbusters hollywoodiens.

Enfin bref. Une nouvelle saison terminée. Il nous reste désormais plus qu’une longue attente pour le final de ce qui sera sans doute la série la plus épique des années 2010, et celle qui aura sans doute susciter le plus de passion. Brace yourself !