Inspiré de la série de novellas éponyme, la série d'Apple étire en une saison (de 10 épisodes de 30 minutes chacun) un texte de 150 pages. Ca laisse le temps d'être contemplatif ... Et d'être sûr et certain que Murderbot est en fait une métaphore de l'inclusion des personnes situées sur le spectre autistique.
Le bon côté ? Les références aux séries imaginaires (la lune rebelle et autres) deviennent des séquences souvent comiques par leur kitsch.
Le mauvais côté ? Apple a supprimé tout le sous-texte sur l'ultra-libéralisme mortifère de la bordure corporatiste. Les dialogues en perdent beaucoup en clarté.
Il ne reste de cette série que le côté distrayant et une opposition caricaturée entre deux visages économiques du futur.