J'ai été débité, mais pas pour les raisons que vous pensez.

supporting(s) = personnages secondaire(s)

Nana, une série qui porte sur deux protagonistes aux prénoms identiques. Une qui est croqueuse d'homme et l'autre, vit pour sa patient de la musique. Un animé qui m'a fait réfléchir sur l'aspect de la femme en société et dans la vie de couple et l'autre aspect de la passion reflétant un vécu douloureux à travers de forte parole musicale dans une jungle qu'est Tokyo. Bien que les personnages principaux participent énormément aux développement de nos chère Nana, ils apportent aussi leur lots de réflexion. Cependant, l'un des personnages de cette animés m'a beaucoup frappée voir même tilter à beaucoup de moments voir dans chaque épisode.

Que dire de façon concise et bref en une critique négative en crescendo ? Allons-y !

Pour commencer, les protagonistes et les supportings sont plus ou moins nés et originaires dans la campagne. A ce moment, rien ne se passe lorsque nos chers protagonistes décident de vivre à Tokyo. Voyez-vous la différence entre Tokyo et la province ? Est-ce un signe d'un changement beaucoup plus radical ? Tokyo est capable de changer une personne, alors qu'en province le temps semble "arrêté". Comme pour une ville de Las Vegas, un jour tu entres et tu changes et un beau jour, tu sombres. Je voulais exposer cette petite parenthèse mais passons à la suite.

Dans ce contexte, homme ou femme, nous nous sommes tous identifié par un personnage dans notre cinéphile, animé ou livre. Chacun à de bon côté, chacun à les pires côtés et d'autre, qui sont en transparent et ne font qu'observer. Le bon côté de ces personnages est de savoir, qui sont-ils et seront-ils capable d'apporter de plus pour nos "Nana" ? Je peux citer, Yasu, un gentil monsieur aussi sage que doux par sa nature qui reste dans son célibat dont j'admire dans l'animé, le couple d'étudiant d'art toujours accroché comme des amants , Junko et Kyosuke, surtout Junko qui va apporter la pierre à l'édifice et l'envoyer à Hachiko pour la réveiller, Nobu, un gentil homme naïf qui idéalise trop les femmes. C'est bon personnages ainsi que Nana (version gothique) sont pour moi des piédestaux de l'animé. Un autre point contradictoire de ce paragraphe en continuant de parler des supportings et que, bien souvent, l'histoire des supportings est plus mise en avant que les protagonistes... Je pourrais citer Takumi. Bref, passons à un focus en particulier qui risque d'être assez salé.

"On apprend tous de nos erreurs" dirait-on, pas dans cette animé en tout. Hachiko, une femme naive, faible et manipulable... Que dire de plus et comment la décrire sans la dénigrer ? Malgré un personnage dont j'ai eu beaucoup d'empathie, cela s'est transformé en de l'agacement. Malgré le caractère enfantine rêveuse, elle reste une femme désireuse de mettre un terme à sa vie de solitude et de femme célibataire. Depuis le lycée, elle traîne sa vie à connaître le grande amour, à enchainer les relations mais ne réfléchit jamais à ce que les hommes pensent. Est-ce un caractère égoïste ? Je doute. D'un caractère extrêmement naïf et maniable qui pourrait refléter les femmes d'aujourd'hui ou d'avant comme Hachiko, elle démontre une dévotion néanmoins plus abusé que la moyenne. Pour elle, la solitude se remplace par l'amour et la tendresse corporelle, certainement un reflet que tout le monde connaît dans cette animé. Quand est-il des hommes ? Avons nous besoin d'être aussi Don Juan pour finir au lit comme notre chère Takumi ou Shoji ? Sommes-nous des mâles en puissance ? Rien qu'à voir ces exemples, je ne pense que la solitude n'est qu'un passage temporaire sans toucher à la flèche qu'est cupidon. Au fil des épisodes, elle ne prend jamais conscience qu'un cœur brisé n'est pas réellement une mise en question, elle reste persuadée d'un amour définitif et finit très vite de changer d'avis. On voit aux épisodes suivants qu'elle enchaîne des relations tout comme son passé avant de s'installer à Tokyo. Résultat, elle se laisse totalement aveuglé par ce désir charnel. Je répète souvent dans ce développement qu'elle enchaîne les relations, pense beaucoup d'un avenir radieux sans voir les conséquence mais cela attise de plus en plus de l'agacement et voir de plus en plus le personnage lourd, et pour elle, un conséquence.
Cependant, elle ne réfléchit pas au avertissement, ni au barrière qu'elle s'est mise. Je me répète mais une question me turlupine... Est-ce ce que vous n'avez jamais rencontré de femme ou de fille comme Hachiko une fois dans toute votre vie ? Une connaissance ? Une amie ? Une collègue de travail ? Loin de moi de dire que ces gens ne sont pas des prostitués mais un passage au-delà de la luxure et du plaisir charnel, une conséquence dont on ne se relève pas de sitôt. Résultat, j'ai trouvé cette mise en scène de la femme énormément pénible et très fade.

En bref, les sons sont pas mal mais les personnages n'évoluent pas et pour la morale ; il faut être calculateur, savoir gérer les opportunités même si elles sont contre nous, bénéfiques ou non. Nana fut formidable pour sa mise en scène... pas pour la chère Hachiko dont j'ai tant été agacé par sa non vigilance, ses regrets, ses pleurs, ses mauvaises décisions. Remercier Junko d'être directe et aussi franche envers Hachiko. Les autres personnages participent grandement à la construction et au développement de nos chers protagonistes.