Sales Histoires
7.7
Sales Histoires

Série Canal+ (1990)

Suite de petits courts, de scketchs très durs, à l'humour plus que noir, parfois très trash. Avec deux comédiens enthousiasmants.
J'aime particulièrement le scketch du vicelard qui court après la jeune fille dans son jardin ou le binoclard qui a vidé le fils de la concierge et le met dans son coffre pensant avoir écrasé un chevreuil.
Alligator
8
Écrit par

Créée

le 23 nov. 2012

Critique lue 508 fois

1 j'aime

1 commentaire

Alligator

Écrit par

Critique lue 508 fois

1
1

D'autres avis sur Sales Histoires

Sales Histoires
freddyK
7

Avant qu'Albert Ne trash Sa Route

Avant les touts premiers one man show, son court métrage Désirée et l'explosion Bernie ; Albert Dupontel se faisait les dents sur des pastilles humoristiques pour Canal + intitulés à juste titre Les...

le 10 oct. 2022

1 j'aime

Sales Histoires
Le-Maitre-Archiviste
8

Sale histoire, hein ?

Sept histoires. Sept histoire à l'humour noir corrosif avec un duo de comédiens démentiels que sont Albert Dupontel et Michel Vuillemez. Sept histoires qui n'ont aucune honte à être violentes,...

le 4 févr. 2022

1 j'aime

Du même critique

Cuisine et Dépendances
Alligator
9

Critique de Cuisine et Dépendances par Alligator

Pendant très longtemps, j'ai débordé d'enthousiasme pour ce film. J'ai toujours beaucoup d'estime pour lui. Mais je crois savoir ce qui m'a tellement plu jadis et qui, aujourd'hui, paraît un peu plus...

le 22 juin 2015

56 j'aime

3

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Alligator
5

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

le 22 nov. 2017

55 j'aime

16

Sharp Objects
Alligator
9

Critique de Sharp Objects par Alligator

En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...

le 4 sept. 2018

54 j'aime