Il y a un côté très culte de la personnalité autour de Triple H, le directeur créatif et surtout le big boss de la WWE. Car c'est lui qui ouvre l'épisode, c'est lui qui apparaît le plus souvent... Et je trouve qu'il ne met pas toujours ses catcheurs sur le devant de la scène alors que c'est littéralement ce qui est le plus intéressant de WWE : Unreal. Les témoignages de Punk, Rhodes ou parfois moins langue de bois de Chelsea Green, la catcheuse qui assume ne pas être forcément toujours satisfait de son booking.
Je trouve que c'est intéressant cette histoire autour de la room du Gorilla, ou encore sur comment les producteurs travaillent lors des shows. Alors, oui, les fans assidus de catch savent tous ces coulisses, mais ça paraît intéressant pour les autres.
Du premier épisode de RAW sur Netflix au dernier jour de Wrestlemania, WWE Unreal est un documentaire sur un format mini-série prenant et assez global. Dommage qu'on n'ait pas eu d'autres catcheurs.ses dans le reportage.