à jamais les premiers
Considéré à juste titre comme le premier album de rock progressif (même si Fripp récuse le terme) "in the court of the Crimson king" est aussi le meilleur album du genre, celui qui a donné ses...
Par
le 3 juin 2018
23 j'aime
77
Groupe phare de la scène new yorkaise des années 80 et 90, archétype du groupe "Hardcore New York" (avec ses confrères de Youth of Today), fer de lance du label Revelations, Gorilla Biscuits a sorti plusieurs enregistrements intéressants dont ce mini album d'une dizaine de titres (Start today est également très bon)
C'est rapide, assez "bourrin, agressif, rentre dedans, violents ; les morceaux sont courts avec ici où là des breaks caractéristiques de ce style musical. Aucun compromis c'est sur !
Ici c'est le hardcore New York, le vrai (pas celui de SOD, d'Anthrax ou d'autres imposteurs) c'est l'âge d'or du genre avec Youth of Today, Warzone, Agnostic Front, Madball...
Avec ce "Gorilla biscuits" on a un témoignage sur cette scène alors à son apogée.
Si vous aimez les titres qui arrachent vous adorerez "Big mouth", "Finish what you started", "Sitting around at home" et surtout le monumental classique "Biscuits power" dantesque !
Après la fin du groupe Anthony Civarelli le chanteur ira fonder CIV excellent groupe de punk/pop mélodique (album "Set your goals"); quand à Walter Schreifels le guitariste il sortira plusieurs albums de post hardcore avec Quicksand (album "Slip"). Deux groupes très différents excellents que je vous conseille vivement.
Aux dernières nouvelles Gorilla Biscuits se serait reformé pour de nouvelles tournées. A suivre !
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes mon top punk/hardcore (au sens large), mes chroniques "musique", Les meilleurs albums de punk hardcore, Meilleurs albums de 1988 et Mes disques
Créée
le 18 août 2018
Critique lue 208 fois
3 j'aime
11 commentaires
Considéré à juste titre comme le premier album de rock progressif (même si Fripp récuse le terme) "in the court of the Crimson king" est aussi le meilleur album du genre, celui qui a donné ses...
Par
le 3 juin 2018
23 j'aime
77
J’avoue que comme pour les films de Kervern/Délépine j’attends toujours les œuvres de Dupontel avec une certaine impatience même si on peut parfois – rarement – avoir de mauvaises surprises (comme...
Par
le 31 oct. 2020
21 j'aime
12
Quelle saloperie la guerre (1). Un monument, cet ouvrage est un monument ! Je vais me contenter d’aborder – et de développer - certains points qui m’ont particulièrement intéressé, quitte à en...
Par
le 4 sept. 2020
18 j'aime
30