Break It Yourself
7.1
Break It Yourself

Album de Andrew Bird (2012)

8/10


Un album comme un souffle doux. Andrew Bird tisse ici une folk artisanale, fragile et lumineuse, entre violon, silences et sifflements célestes. On y entre comme dans une clairière après la pluie : tout est délicat, feutré, sincère. Mention spéciale à Sifters, d’une pudeur bouleversante.


Pas toujours immédiat, parfois un peu trop éthéré, mais profondément humain. C’est un disque qui ne crie jamais, mais qu’on entend longtemps.


Fragile comme le vol d’un oiseau.

CriticMaster
8
Écrit par

Créée

le 11 avr. 2025

Critique lue 3 fois

CriticMaster

Écrit par

Critique lue 3 fois

D'autres avis sur Break It Yourself

Break It Yourself
CriticMaster
8

Fragile comme le vol d’un oiseau

8/10Un album comme un souffle doux. Andrew Bird tisse ici une folk artisanale, fragile et lumineuse, entre violon, silences et sifflements célestes. On y entre comme dans une clairière après la pluie...

le 11 avr. 2025

Break It Yourself
denisverloes
8

Critique de Break It Yourself par denisverloes

Ça y est, on tient le bon bout, le printemps est là ! Preuve en est avec ce disque libre, accueillant et ouvert à tous vents, nouvel album de l'insaisissable Andrew Bird. Des années déjà que...

le 12 avr. 2012

Du même critique

Des abeilles et des hommes
CriticMaster
9

Le bourdonnement d’un monde en péril

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un documentaire qui m’a profondément marqué : Des abeilles et des hommes, réalisé par Markus Imhoof en 2013. J’ai choisi de lui attribuer la note de 8,5 sur 10, et...

le 30 avr. 2025

2 j'aime

Après mai
CriticMaster
8

Les braises d’un idéal : la jeunesse en quête de sens dans Après mai

Dans son film Après mai (2012), Olivier Assayas dresse un portrait sensible et nuancé de la jeunesse française du début des années 1970, marquée par l'héritage de Mai 68. À travers le regard de...

le 30 avr. 2025

2 j'aime

Everwood
CriticMaster
8

une série qui m’a parlé au cœur

Il y a des séries qu’on regarde, et d’autres qu’on vit. Everwood fait clairement partie de la seconde catégorie pour moi. En lui attribuant 8/10, je reconnais qu’elle n’est pas parfaite, mais qu’elle...

le 12 juin 2025

1 j'aime