à jamais les premiers
Considéré à juste titre comme le premier album de rock progressif (même si Fripp récuse le terme) "in the court of the Crimson king" est aussi le meilleur album du genre, celui qui a donné ses...
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le 3 juin 2018
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Formé par les frères Burdette en 1995 His Hero is gone est un groupe qu'on peut définir comme se situant entre grindcore, anarcho punk crust-punk, post hardcore et noisecore, un groupe dévastateur ; « Monuments to thieves » est équivalent à une explosion sonore, une déflagration d'une intensité rarement égalée.
C'est apocalyptique et parfois ça peut également faire penser à certains groupes de black métal (musicalement parlant j'entends).
Sans concession, ultime, brutal , plein de rage, (rapide mais pas uniquement car HHIG sait varier les tempos y compris des passages plus lourds également très bons, en tout cas c'est plus la puissance que la vitesse qui est recherché), une puissance inouïe, les voix sont hurlées, les guitares sont à saturation !
Un des meilleurs groupes du genre , un modèle du style hardcore brutal, un des albums les plus aboutis.
15 morceaux en 25 minutes, sans temps morts à écouter d'une traite
His Hero Is Gone est un groupe méconnu mais qui a eu par ses nombreux enregistrements (notamment trois albums) entre 95 et 99 une influence importante sur la scène hardcore politisée US et du mouvement DIY en général.
Pour ceux qui aiment le chaos auditif et les décibels...les autres, amateurs de "grande musique" passeront leur chemin !!
Certains membres crééront ensuite Tragedy dans le même genre mais un peu plus travaillé malgré tout (mais je conseille également).
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes mon top punk/hardcore (au sens large), mes chroniques "musique", les meilleurs albums des années 90, Les meilleurs albums de punk hardcore et Meilleurs albums de 1997
Créée
le 9 avr. 2019
Critique lue 116 fois
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le 3 juin 2018
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J’avoue que comme pour les films de Kervern/Délépine j’attends toujours les œuvres de Dupontel avec une certaine impatience même si on peut parfois – rarement – avoir de mauvaises surprises (comme...
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Quelle saloperie la guerre (1). Un monument, cet ouvrage est un monument ! Je vais me contenter d’aborder – et de développer - certains points qui m’ont particulièrement intéressé, quitte à en...
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le 4 sept. 2020
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