Critique de Narita par nico94
Après le prometteur mais perfectible « Rock city » sorti en 1977 Riot nous revient ici pour son second album « Narita » (nom d'un des aéroports de Tokyo). Le groupe franchit une...
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le 15 sept. 2018
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Après le prometteur mais perfectible « Rock city » sorti en 1977 Riot nous revient ici pour son second album « Narita » (nom d'un des aéroports de Tokyo). Le groupe franchit une étape en qualité et on peut considérer « Narita » comme une ébauche de ce que sera leur chef d'oeuvre « Fire down under ».
Riot pose les bases de sa musique ; très bon riffs tranchants et assez rapides pour l'époque (du très bon guitariste Mark Reale) et la voix sublime de Guy Sperenza l' un des meilleurs chanteurs de hard rock de tous les temps (avec RJ Dio, Paul Di anno, Ian Gillan et Rob Halford) .
« Narita » est juste un peu moins bon que Fire down under : moins bonnes compositions, un peu moins puissant mais un très bon album malgré tout.
Les meiileurs titres sont « Waiting for the taking » représentatif du son Riot , « Narita » (un instrumental qui donne un aperçu de la qualité des deux guitaristes, l'un des meilleurs instrumentaux de hard) et enfin le final avec White rock / Road Racin » qui conclut l'album en trombe.
On notera une bonne reprise de « Born to be wild » de Steppenwolf.
Un seul morceau faible en fait « Kick down the wall » avec son refrain poussif un peu tiré par les cheveux.
Mais le meilleur est à venir « Fire down under », sorti en 1981, leur troisième album (et dernier avec Sperenza au chant) , un classique du hard, l'apogée du groupe : note 9/10 – voir la critique que j'ai faite de cet album ici même.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes New York (Rock) city, les meilleurs albums des années 70, mes chroniques "musique" et meilleurs albums de 1979
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le 15 sept. 2018
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