Du Japon à l'Angleterre victorienne ; quand ça n'est pas dans un monde imaginaire, les escales se font rares entre ces trois étapes apparemment chevillées aux destinations de prédilection quasi exclusives empruntées par la majorité des mangakas. Le monde est petit pour qui a de l'encre et du papier au pays du Soleil Levant. Kaoru Mori était, elle, à l'étroit piégée dans les carcans du genre (bien qu'elle nous ait gratifié d'un précédent manga.... se situant dans l'Angleterre victorienne). L'horizon s'étend, on est si loin des paysages coutumiers qu'on en serait presque pris par le mal du pays. Pas pour longtemps néanmoins ; l'affectation que se sera désignée la trame prend à revers aussi subitement qu'elle séduit.


Que connaissions-nous de l'Asie centrale ? Pensions-nous seulement qu'il y avait quoi que ce soit à y découvrir ? Toutes fictions confondues, les auteurs à s'être un jour intéressés à cette culture si méconnue sont aussi communs que la neige en été. Pétri de mes hautaines certitudes de gaulois mal dégrossi - et fier de l'être - je soupirais de dépit en entamant le premier volume. Pensez donc ; une histoire centrée autour de mariages et écrite par une femme, le tout, en des terres qui n'ont jamais réellement ni même vaguement suscité ma curiosité - encore moins mon intérêt.... je me voyais déjà parti pour entamer un chemin de croix au pas de course.
La claque, je me la suis prise assez tôt. Il fallait au moins ça pour me remettre les idées en place. Les préjugés ont la vie dure chez moi. Le plus souvent, ils me préservent de bien des déconvenues ; il se trouve malgré tout quelques rares occasions où ils manquent de me priver de quelques découvertes grandioses.


Dépaysé, je ne l'étais finalement pas tant que ça. Certes, c'était un monde nouveau qui se révélait à moi, mais sous des allures bien coutumières - en tout cas familières. Du dessin de Kaoru Mori, j'en ai retiré les mêmes sensations induites par les esquisses du père Taniguchi. Un sentiment de quiétude d'où transparaît une forme d'immanence sobre et contenue mais quelque part criante de magnificence ; comme une lumière étincelante contenue sous une chape de plomb dont seule la lueur tamisée en dit long sur le non-dit.
Pudique mais élaboré. Plus encore que les dessins de Jirô Taniguchi. Je n'irai pas jusqu'à prétendre avoir été estomaqué par le crayonné, ça reste plutôt lisse dans l'ensemble mais joliment retranscrit. Taniguchi au féminin, ça a son charme.


Apôtre émérite que je suis du sinistre, du glauque et du désespoir, il allait falloir être habile de sa plume pour savoir me satisfaire avec cette éloge de la pureté que devenait parfois Bride Stories. On retrouve la grandeur en chacun. Tout le monde est beau en dedans et en dehors ; il n'y a pas même un semblant d'espace pour y insérer un soupçon de malveillance ou de cynisme.
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil... et ça n'est pas plus mal. Quand certains auteurs simulent la candeur à outrance, Dame Mori la restitue à sa place, avec ses lettres de noblesse mais surtout ses limites. Même la pureté connait des malfaçons pour peu qu'on cherche à l'imbriquer dans un cadre historique viable et, par conséquent, réaliste. Oui, c'est assaini, mais ça n'est jamais naïf. La blancheur sait où et quand s'arrêter lorsque pointent les premières nuances de gris. L'auteur ne nous fera pas l'offense de transformer l'Asie centrale - terre jadis vallonnée par les montures de Genghis Kahn et ses cavaliers - en un Disneyland à ciel ouvert. La caution historique du récit se veut authentique et se refuse à la moindre compromission. C'est tout à son honneur et le lecteur sera le premier bénéficiaire de cette marque d'intégrité éditoriale.


Des auteurs prétendent parfois s'adonner à un travail de recherche pour un manga généralement peu recherché, Kaoru Mori aura quant à elle épluché tout ouvrage traitant du sujet, arpenté jusqu'à la plus fine broderie d'Asie mineure, goûté à la moindre spécialité locale jusqu'à se remplir du terroir. Sa minutie et plus particulièrement cette acuité avec laquelle elle resituera du bout du crayon l'artisanat des peuplades présentées et simplement saisissant.
On ne retrouve pas ce ton presque condescendant qui chercherait à nous exprimer le terroir sous l'affublement peu glorieux du folklore : ici, tout est vrai. Tout paraît l'être en tout cas ; ne comptez pas sur moi pour aller en Afghanistan tâter de leurs miches de pain, je crois Kaoru Mori sincère alors qu'elle nous fait voyager dans des parages d'où chaque trait en fait jaillir le réel.


Qui se serait attendu de moi que je sois un jour scotché et attentif alors que la narration s'attardait longuement sur des affaires de broderies méticuleusement dépeintes par l'auteur ? Pas moi en tout cas. Mon casier étant déjà bien chargé et ma crédibilité quelque peu entamée, que restera-t-il de ma réputation maintenant qu'on sait que je me suis enthousiasmé devant de la broderie, je me le demande.
Le poids de l'héritage du savoir-faire des motifs de broderie, ça n'a l'air de rien et pourtant c'est tout. On se sent écrasé par tant de maîtrise artisanale alors que Tileke apprend qu'elle devra un jour succéder à ses aïeules dans la chaîne de transmission d'un savoir ancestral. Voilà une auteur qui aura potassé son sujet et su faire honneur à sa passion pour une thématique au point de la resituer au sentiment près auprès de son lectorat. Le rendu que fait Smith de cette tradition de broderie est d'une justesse infinie alors que je ressentais et exprimais chacun des mots qu'il nota dans son carnet.


Un tel respect des traditions, sans angélisme ni mépris, traduit la volonté effective et avérée de l'auteur à nous rapporter sa passion pour cette région du monde. Les encarts en fin de chaque volume font état de son travail de recherche et plus particulièrement de son engouement pour la culture qu'elle évoque et nous fait partager. On reconnait encore le travail d'un passionné - en l'occurrence d'une passionnée - à la ferveur et au talent qu'il peut avoir à communiquer son intérêt pour un sujet donné au point où d'autres finissent par se l'attribuer.
Sans qu'elle ne soit parvenue à me transmettre l'envie de faire un tour en Asie mineure (on dira que je ne veux pas y aller parce qu'il y fait trop chaud pour simplifier), Kaoru Mori aura en tout cas essuyé le dédain que je pouvais avoir pour la région d'un revers de buvard. Nul doute que la réalité qu'elle nous fait parvenir est démesurément enjolivée et que bien des éléments auront été occultés, cependant, elle nous aura montré l'envers d'un endroit dont on pensait qu'il se suffisait à lui-même pour nous définir ces terres lointaines.


L'immersion dans le premier village dont nous ferons la connaissance est rapide, absolue, presque brutale tant on s'y sent à l'aise du bout des rétines seulement. Mon attention était captée, je ne tardais pas même à être raisonnablement captivé par ce que je découvrais, souhaitant en savoir sans cesse davantage. Mori sait donner envie, elle ne dévoile que progressivement afin de faire monter le désir.


Smith, le scientifique anglais venu analyser les coutumes locales sera au départ un ressort comique discret et rafraîchissant qui, sachant s'effacer en dehors de ses très courts rôles ponctuels, ne se présentera que comme le personnage principal du manga sur le tard. Un fil rouge continu plus qu'un personnage principal dont l'intrigue propre laissera place à celle de nouvelles mariées en des latitudes diverses aux coutumes toujours variées. Lui aussi aura droit à sa propre trame, une romance sporadique étalée et rappelée entre deux arcs narratifs dont l'issue constituera certainement le dénouement de l'œuvre, à ce jour inachevée.
Les personnages sont tous attrayants dans leur authenticité bien qu'ils ne débordent pas du papier au point que l'on s'attache à eux plus que de raison. Pas en ce qui me concerne toutefois. C'est le revers du style Taniguchi ; la sobriété contient et étouffe l'exubérance, cela prévient l'outrance, la démesure et les dérives icariennes mais modère chaque effort jusqu'à en étouffer parfois leur portée et ce, même si celle-ci peut mener vers des strates significatives. Trop de retenue dans le contenu. De peu, mais de trop. Un moindre mal en réalité absolument indolore à la lecture.


Bien que très féminine dans ses centres d'intérêts et ses posture - les informations en fin de tome en attestent - Kaoru Mori aura su refréner ses lubies de jeune fille fascinée par les chevaux les soieries et les bijoux pour ne les faire connaître que sous les augures de la tempérance. Comme quoi, le style Taniguchi a du bon.
Elle y aura aussi mêlé des thématiques plus viriles comme la guerre, la politique et la chasse - sans parler du dépeçage de mouton - sachant alors se ménager sans peine un lectorat aussi bien masculin que féminin. Son habileté à savoir agréger un public de mâles à une œuvre centrée autour de mariages harmonieux tient parfois du génie. Messieurs, déflorez les premières pages serein, car, malgré tous les apparats inquiétants de Bride Stories - à commencer par son titre - c**e n'est ni un Josei et encore moins un Shujô que vous lirez mais un Seinen remarquablement bien ficelé**.


Roméo et Juliette sont aux oubliettes et c'est pour le mieux. Mariages certes, mais sans histoires d'amour stupides pour les emballer. Le thématique maritale est ici - à une exception notoire - abordée avec maturité et révérence. On n'épouse pas un conjoint mais une famille ; le mariage, c'est avant tout une histoire d'alliance familiale. Il n'y a pas de pathos ou de passionnel débridé qui tienne, il s'agit là de l'affaire de destins croisés. La mortalité aidant, il n'est pas rare que bien des jeunes filles aient été mariées à diverses reprises.
C'est bien d'histoires d'amour dont il sera question, mais l'auteur ne fait pas la bête erreur consistant à ne pas savoir opérer la saine distinction entre amour et passion. Le premier se construisant à mesure que le second s'estompe. Les relations décrites sont terre-à-terre et dignes d'intérêt car mises en scène avec des personnages discrets qui savent séduire le lecteur sans trop avoir à en faire.
Non seulement Bride Stories c'est frais au point de confiner au quasi-poétique, mais ça a en plus le mérite d'être intelligent.


Il est cruel et déchirant de nous séparer - pour un temps - d'une famille que nous avons appris à connaître et aimer, il en est hélas ainsi du périple de Smith dont nous suivons le parcours et les rencontres. Ce n'est pas l'histoire d'une mariée mais des histoires de mariées. Je n'ai pris conscience de m'être attaché aux protagonistes rencontrés par Smith qu'alors que ce dernier les quittait. Kaoru Mori aura su démontrer une fois de plus la force de son écriture soutenu par la solidité de son dessin.


La deuxième histoire de mariée sera autant un prétexte à doter Smith d'une trame qui lui soit propre afin de le sortir de son rôle de chroniqueur qu'un essai sur la dureté de la vie ; derrière les sourires sincères, c'est parfois la misère qui attend au tournant. Entre la maladie, les intempéries, les guerres et autres joyeusetés, sans misérabilisme aucun, l'auteur nous démontre que le contexte dans lequel évolue les personnages n'est finalement pas aussi enchanteur que le motif des broderies ; Smith côtoie alors la difficulté de survivre pour Talas et sa belle-mère en rapportant leur cadre de vie quotidien. La région n'était pas propice à l'agriculture et la mortalité au jour le jour démesurément répandue. Il est douloureux de nous présenter ces deux femmes dont le salut ne pourra pas venir de bons sentiments ou d'un rude labeur mais des aléas de la fatalité seulement. Le croyais-je en tout cas.
Ce sera d'ailleurs un crève-cœur de voir Smith partir avec Cuval, laissant derrière lui les deux femmes déshéritées par le sort. Je me disais alors qu'il était rare qu'une mangaka sache jouer si adroitement avec les sentiments en nous offrant une résolution sans fin heureuse quand, probablement rattrapée par la culpabilité et les œstrogènes, Kaoru Mori arrange finalement tout. Alors, le preux chevalier occidental s'engagera à épouser la pauvresse afin de la dépêtrer du malheur de sa condition. Un coup d'épée dans l'eau. Il y'avait un fond de tragédie qui ajoutait encore plus de corps et de la saveur au manga mais il a malencontreusement tourné.


L'arc des jumelles n'aura pas su essuyer la contrariété engendrée par ce précédent désappointement alors que leur trame - auquel il faut reconnaître son lot d'humour jusque là assez rare - nous détourne de l'essentiel. Elles sont par ailleurs un brin cartoonesques au point de rompre violemment avec ce qui avait fait jusque là l'authenticité des débuts. Ce sera malgré tout l'occasion de nous narrer les détails d'un mariage de ses préambules à son achèvement ; Mori y tenait, c'est maintenant chose faite. Elle aura auparavant laissé une casserole sur le feu avec les affaires claniques et l'ingérence de la Russie en Asie mineure ; ceci considéré, cette parenthèse m'aura fait prendre mon mal en patience plus qu'elle n'aura suscité l'engouement. Je reste un mâle ; pour peu qu'on me parle guerre et politique, j'attends la fin de la phrase et n'apprécie guère qu'on diverge.


Car les péripéties des Hargal nous auront extrait des histoires de mariage - sympathiques au demeurant - mais parfois aussi étouffantes que le soin qu'apporte Amir à son mari. Kaoru Mori aura su rallier à elle à la fois un public masculin et féminin sans qu'aucun des deux n'ait à renâcler le mélange des genre romance et guerre. Les deux ont pour habitude de s'accorder à merveille dans la fiction, elles s'harmonisent ensemble depuis que le monde est monde.
Des deux, je leur préfère toutefois la guerre. Aucune autre famille n'aura su m'enthousiasmer autant que celles d'Amir et Karluk et, lucide, Kaoru Mori ne manquera pas de les remettre sur le devant de la scène.


Mais puisqu'il faut suivre le périple de Smith - et donc ses haltes - nous devons nous éloigner à nouveau d'Amir, Karluk et Pariya le temps de l'arc de la mariée turque, plus nunuche encore qu'une princesse Disney. J'entamais mon cheminement de lecteur confiant alors que se déroba soudain sous mes yeux la trappe d'un Shojô bien peu reluisant. Ça ne dure qu'un arc mais ça dure un arc ; en apnée, même une minute paraît une éternité. Et en apnée, je l'étais alors que je me bouchais davantage le nez chapitre après chapitre.


Pas né de la dernière pluie, j'ai encore bien compris que le prétexte de la cérémonie des sœurs conjointes s'avérait être une minable tentative déguisée de nous présenter un mariage.... plus informel dirons-nous pour ne pas polémiquer en y accolant l'adjectif «lesbien». Car il s'agit ni plus ni moins d'un mariage officieux entre deux femmes, tout le cérémoniel ainsi que la narration tendent ostensiblement vers cela et la suite incline tout autant - si ce n'est plus - en direction d'une idylle unissant deux femmes mariées.
Entre cela, les éclats abondants et abusifs de la mise en scène artistique et la candeur agaçante d'Anis, c'est plus que mon seuil de tolérance ne saurait supporter.


Je pense que s'il se trouve quelques musulmans orientaux pour lire cette trame et réagir en accordance avec leurs convictions après pareille lecture, alors, l'Asie mineure et ses normes islamiques risqueraient probablement de se présenter sous un jour nouveau aux yeux de madame Mori. C'est une thèse. Je n'oblige personne à y souscrire mais je connais - tout comme la DGSI - quelques imams dont le mot «fatwah» leur vient facilement au bord des lèvres quand on les inspire à grand renfort de mariage entre femmes sur des terres islamiques. L'Asie centrale, ce n'est pas que broderie et élevages pastoraux.
Un scénario de cet ordre soulève au moins un cas juridique d'envergure ; si une femme fait son mari cocu avec la deuxième femme de celui-ci, ce dernier est-il cocu ? Vous avez quatre heures. La calculatrice est autorisée.


Non, je n'aime décidément pas qu'on s'éloigne de l'intrigue principale autour d'Amir et Karluk, encore moins pour des histoires de cette nature. Pariya, cette Tsundere de l'extrême me manquait et manquera à chacun, l'occasion de rire et compatir à ses déboires se sera fait attendre. On en rigole bien et les préambules de ses fiançailles avec Umar sont vraiment prenants. Ma fierté d'homme en prend un sacré coup en l'admettant, mais il est des romances innocentes qui me font de l'effet. Il suffit qu'elles soient pudiques ce qu'il faut et bien écrites. Vaste programme que rares sont les auteurs de Shojô/Jôsei à savoir respecter.


La prédominance tardive de la famille d'Amir dans l'intrigue n'est pas pour déplaire, le périple entamé par Smith non plus. Ils constituent la caution masculine du manga avec son lot de guerre, de dépeçage de moutons et de chasse en somme, Mori sait s'arranger à la fois les faveurs des lecteurs et lectrices sans jamais en perdre un au profit de l'autre. Un numéro d'équilibriste sans faux-pas, sans faux-pas susceptible de faire chuter j'entends.


En Asie mineure, tous ont apparemment bon fond et bonne nature ; cela, je le tiens de Bride Stories. Mais l'Asie centrale, ça n'est pas que sens de l'hospitalité, chasse et broderie. C'est aussi autre chose. Un autre chose que Mori aura pudiquement ignoré, ne retenant généralement que le meilleur pour en occulter le pire. Je reprocherai à l'auteur de nous avoir offert un portrait un brin trop gracieux et idyllique des sociétés dont il était question sous couvert de nous les présenter sous un jour globalement réaliste.
Mais comment en faire véritablement reproche à une passionnée qui aura su faire étalage de sa flamme pour son sujet ? Un investissement palpable et puissant ressort de chacune des pages de Bride Stories, voilà une auteur pour qui le mot «travail» n'est pas un sujet de plaisanterie.
Devant un ouvrage synthétisant tant de recherches sur une culture si vaste et aussi correctement articulée par une narration lui rendant décidément bien justice, un lecteur avisé, lui aussi, en retiendra le meilleur plutôt que le pire.

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le 14 juin 2020

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Josselin Bigaut

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