le 17 déc. 2020
Du mou pour Rantanplan
Le scénario, c'est vraiment n'importe quoi ! Mais après tout pourquoi pas ? On est dans la bande dessinée et le délire y a toute sa place. Nous avons droit à un véritable festival des Dalton qui ne...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
BD franco-belge de Jean Léturgie, Xavier Fauche et Maurice de Bevere (Morris) (1991)
Les Dalton prennent vraiment beaucoup de place dans la série. Depuis quelques temps, les auteurs trouvent même le moyen de les placer dans chaque album, ne fut-ce que pour un caméo.
Heureusement, "L'amnésie des Dalton" est un chouette album. Avec du déjà-vu, c'est certain, mais beaucoup d'humour ; en effet, les auteurs se plaisent à vraiment jouer avec les Dalton pour s'en moquer, les ridiculiser. C'est donc une histoire très légère, où Luke est là juste pour le principe ; cela n'empêche pas d'avoir un objectif très clair et des conflits en abondance (juste que les enjeux ne sont pas très élevés).
Morris fournit une fois de plus du bon boulot. Certaines proportions font défaut, il n'a plus la précision d'antan, ni même la rigueur, mais ça passe assez.
Bref, un bon album.
Créée
le 29 avr. 2015
Critique lue 266 fois
le 17 déc. 2020
Le scénario, c'est vraiment n'importe quoi ! Mais après tout pourquoi pas ? On est dans la bande dessinée et le délire y a toute sa place. Nous avons droit à un véritable festival des Dalton qui ne...
le 30 sept. 2013
Premier épisode de Lucky Luke sans Goscinny que je lis, on peut immédiatement noter que si le maître de la BD franco-belge n'est plus, son esprit demeure. Fauche et Léturgie ont bien le même état...
le 11 janv. 2013
Les dessins sont toujours de Morris mais le scénario est désormais à la charge de Fauche et Léturgie. Le moins que l'on puisse dire c'est que l'absence de Goscinny se ressent. Certes l'idée de départ...
le 16 janv. 2011
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
le 3 janv. 2016
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
le 22 févr. 2014
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique