Rheingold !
Certainement l’album qui m’a fait aimer Yoko Tsuno : plus encore que Le Trio de l’Etrange et sa plongée vers le monde caché des Vinéens, L’Orgue du Diable nous envoûte avec ses légendes meurtrières...
Par
le 6 juil. 2013
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Délaissant la science-fiction décomplexée, c'est désormais dans l'atmosphère du thriller fantastique qu'évolue Yoko Tsuno, avec obscure légende médiévale à la clé. Le rythme est toujours haletant, mais déjà mieux maîtrisé que dans le premier volume. Yoko Tsuno s'avère une héroïne complète à la Tintin, aussi à l'aise quand il s'agit de se battre, de se mesurer à des énigmes, d'escalader des parois abruptes ou de démontrer ses compétences technologiques. D'ailleurs, comme Tintin, c'est lors d'une croisière que Yoko Tsuno va décider de se mêler d'une affaire qui à priori ne la regardait pas, là où dans le premier volume le trio était entraîné malgré lui dans l'aventure.
Il est plaisant d'avoir dans ce genre de récit une héroïne, Vic et Pol étant plutôt dans le rôle de faire-valoir, très en retrait. L'orgue du diable se dévore vite, et on en redemande, car c'est vif et plein d'humour, et on sent bien l'enthousiasme de l'auteur.
Créée
le 28 juil. 2025
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Certainement l’album qui m’a fait aimer Yoko Tsuno : plus encore que Le Trio de l’Etrange et sa plongée vers le monde caché des Vinéens, L’Orgue du Diable nous envoûte avec ses légendes meurtrières...
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le 6 juil. 2013
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