Un film brillant...
Dès les premières images, Mademoiselle transporte le spectateur dans un univers années 30 à la fois somptueux et inquiétant, où chaque détail visuel compte. Park Chan-Wook signe ici une œuvre baroque...
le 24 juin 2025
5 j'aime
Je ne me lasse pas du concept même si je peux comprendre qu'il puisse paraître répétitif. Les personnages reviennent au restaurant, évoluent dans leur vie. De nouvelles têtes apparaissent. Ce microcosme culinaire, où chacun cohabite malgré des caractères très opposés, révèle des instants de noirceur intense ou de mesquinerie qui alternent avec des moments de rencontre lumineux.
Au fil des tomes, un thème récurrent se dessine en filigrane : la conjugalité. Entre l'obsession féminine de faire un "bon" mariage, l'adultère chronique masculin, les maisons de plaisir, les jobs sexuels (strip teaseuse, host...), on a parfois l'impression que le couple japonais a un fonctionnement compliqué et assez daté.
Créée
le 17 avr. 2025
Critique lue 4 fois
Dès les premières images, Mademoiselle transporte le spectateur dans un univers années 30 à la fois somptueux et inquiétant, où chaque détail visuel compte. Park Chan-Wook signe ici une œuvre baroque...
le 24 juin 2025
5 j'aime
Un de mes films préférés et sans doute un des meilleurs films fantastiques jamais réalisés.
le 28 mai 2025
5 j'aime
Je ne sais pas qui a eu l'idée du titre français mais c'était sans aucun doute un joyeux plaisantin ! Ce récit fantastique bien saignant alterne ambiances sonores étonnantes et silences terrifiants...
le 17 mai 2025
5 j'aime