Le Parfum de l'invisible, tome 1
6.8
Le Parfum de l'invisible, tome 1

BD franco-belge de Milo Manara (1986)

Après le déclic Manara revient avec un nouveau sujet prometteur: un homme invisible tourmente une belle demoiselle comme l'auteur sait si bien les représenter.

Il s'agit une fois de plus d'un récit érotique aux scènes assez fortes en sensation. Evidemment le scénario, comme dans le déclic, n'est pas extraordinaire et le lecteur pourra y déceler quelques incohérences. Le plaisir de cette lecture réside uniquement en cette succession de scènes érotiques (pornographiques si l'homme n'était pas invisible) palpitantes.

Côté graphisme, Manana arrive toujours à susciter le désir chez son lecteur tant les poitrines et croupes sont magistralement mises en valeur.

Bref un album sensuel à souhait, démontrant une fois de plus tout l'amour de Manara pour la femme et maniant l'épée du désir avec un trait vivant.
Fatpooper
8
Écrit par

Créée

le 16 févr. 2012

Critique lue 714 fois

3 j'aime

16 commentaires

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 714 fois

3
16

D'autres avis sur Le Parfum de l'invisible, tome 1

Le Parfum de l'invisible, tome 1
Fatpooper
8

The Hollow Man

Après le déclic Manara revient avec un nouveau sujet prometteur: un homme invisible tourmente une belle demoiselle comme l'auteur sait si bien les représenter. Il s'agit une fois de plus d'un récit...

le 16 févr. 2012

3 j'aime

16

Le Parfum de l'invisible, tome 1
rivax
8

Critique de Le Parfum de l'invisible, tome 1 par rivax

Un très bon album de Manara, en noir et blanc. Un trait précis, fin, beau. Une histoire amusante : un scientifique assez laid invente un baume d'invisibilité et l'utilise pour approcher une danseuse...

le 19 janv. 2011

2 j'aime

Le Parfum de l'invisible, tome 1
Broyor
9

Critique de Le Parfum de l'invisible, tome 1 par Broyor

Cette Bd démontre (encore, si besoin était !) que le Maestro Manara est le Michelangelo des culs, le Miculangelo en fait... et à cet égard il se compare aux plus grands en la matière, c’est-à-dire...

le 28 sept. 2025

1 j'aime

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

125 j'aime

35

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

125 j'aime

57

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

124 j'aime

45