Après un premier tome étonnamment calamiteux, ce ‘Neptune’ fait presque amende honorable : on a presque l’impression qu’il se passe enfin quelque chose… même si ce n’est guère passionnant ni très original ni très clair non plus… A défaut de faire passer le temps à peu près correctement, l’album ennuie moins que dans le premier tome en tout cas.
La couverture évidemment est belle mais non contractuelle comme on dit : à l’intérieur, le dessin est tout simplement horrible, une douche froide, pour ne pas dire glacée : le dessin est tout simplement affreusement affreux, pour ne pas dire hideusement mal fait.
De plus, ce second tome se termine sur une simple interrogation : on se demande alors comment l’auteur va s’en dépêtrer mais on verra bien dans le suivant. Bref, c’est décidément -quand même- bien de la merde, cette bédé de merde !