28 semaines plus tard par snakesolid203
Sans Boyle et Murphy, respectivement derrière et devant la caméra, 28 semaines plus tard risquait d’être une pâle suite portant presque préjudice à son aîné. Ce fut la stupéfaction en sortant de la salle. Fresnadillo, le réalisateur, impressionne avec une mise en scène à la fois très violente, chaotique et apocalyptique. Il assure en plus tellement qu’il se permet une réalisation audacieuse et très convaincante. Avec lui, on est vraiment dans l’ambiance et en plus tout cela se déroule dans une même ville. Le scénario est plus vaste et moins concentré que celui de 28 jours plus tard, la contamination concernant bien plus de monde. Robert Carlyle est tout simplement charismatique en contaminé archi-violent. Le film est presque mieux que son aîné en bénéficiant en plus d’un soin tout particulier au niveau de la photo.
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