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Esthétiquement marquant et porté par une BO culte, 9 semaines 1/2 séduit par son atmosphère sensuelle et son duo magnétique. On perçoit bien la prise de pouvoir progressive de Mickey Rourke sur Kim Basinger, jusqu’au moment où elle trouve la force de dire stop. Derrière sa surface érotique, le film esquisse une réflexion sur la domination et la perte de soi. L’ensemble demeure séduisant à regarder, même si l’histoire reste trop légère pour réellement émouvoir.
Créée
le 15 oct. 2025
Critique lue 6 fois
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Revoir 9 semaines 1/2 me ramène à ces années 80 euphoriques où l'on s'étourdissait encore un peu avec une effervescence différente de celle des années 70, plus classe, plus high tech, plus glamour en...
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le 10 juil. 2020
27 j'aime
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Je précise que j'ai été obligé de regarder ce "film", parce que je dois faire une rétrospective des films de 1986 (hors films français).. Parfois ça peut avoir du bon, on peut être amené à découvrir...
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le 30 juin 2013
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9 semaines ½, c'était un soi disant monument de sensualité, dont j'avais toujours entendu parler comme d'un chef d'œuvre subversif. Soit. La subversion j'aime bien. La sensualité au cinéma, aussi. Je...
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le 1 juin 2010
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Un chirurgien plasticien évite l’engagement… jusqu’au jour où il tombe réellement amoureux et doit inventer toute une mise en scène jusqu’à Hawaï. Rigolo et léger, mais prévisible et frustrant :...
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le 5 oct. 2025
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Nos plus belles années » est avant tout l’histoire d’un amour sincère et profond, mais condamné par l’incompatibilité de deux visions du monde. Katie, idéaliste et engagée politiquement, vit selon...
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le 24 sept. 2025
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Bon film malgré quelques longueurs. Le décor des années 20 est bien reconstitué, avec de beaux costumes et une ambiance soignée. Robert Redford est convaincant dans le rôle principal et l’ensemble se...
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le 26 sept. 2025
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