La tour infernale
Depuis Le Loup de Wall Street, le genre de l'économie au cinéma a pris un nouveau tournant. En effet, on assiste depuis peu à une mutation d'un public à la fois avide de divertissement et en même...
Par
le 31 déc. 2015
63 j'aime
8
Assez bordélique sur sa forme, sorte de mash-up entre Scorsese et Oliver Stone, le film est quasi imbitable pour les non initiés du monde de la finance, seuls à-même de comprendre les dialogues bourrés de termes techniques hyper pointus que trois courtes séquences de vulgarisation ne suffisent pas à rendent accessibles au spectateur lambda. Celui-ci se voit donc réduit à suivre laborieusement une intrigue dont il n'appréhende que la surface, écoutant sans les comprendre des acteurs qui en font des caisses.
Créée
le 25 juin 2016
Critique lue 196 fois
D'autres avis sur The Big Short - Le Casse du siècle
Depuis Le Loup de Wall Street, le genre de l'économie au cinéma a pris un nouveau tournant. En effet, on assiste depuis peu à une mutation d'un public à la fois avide de divertissement et en même...
Par
le 31 déc. 2015
63 j'aime
8
Henri, la crise financière de 2008, ça l'a déglingué. Au point de voter Front de Gauche (alors que c'était un Sarkozyste fervent) et de clôturer son Codévi auprès de la Société Générale qu'il...
le 23 déc. 2015
48 j'aime
16
En voyant arriver THE BIG SHORT, bien décidé à raconter les origines de la crise financière de la fin des années 2000, en mettant en avant les magouilles des banques et des traders, on repense...
le 16 déc. 2015
41 j'aime
Du même critique
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
53 j'aime
4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
48 j'aime
19
Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...
Par
le 24 nov. 2016
43 j'aime