Et si on parlait du sida mais d'une autre manière et qu'on mélange tous les clichés autour de cette maladie dans un film et tous les clichés autour d'une famille berbère qui s'est « bien intégré » en france.
Donc déjà premièrement, les « malades » principaux qu'on suit sont tout simplement et bonnement :
- un homme gay
- un toxicomane
bon mdr, est ce que j'ai quelque choses à dire de plus ?
Le fait de mélanger 3 temporalités de manière pas du tout clair, c'est agaçant.
On est en big 2025, parler du sida de cette manière c'est limite proche de la désinformation à mon humble avis imo mais peut être que je whippin tout.
peut on parler du make up dans la dernière scène pitié ???? ????????
ok t’es fan de tame impala, moi aussi, mais c’est tellement « placer » cette musique pour la placer pitié
driver ?????
ps : peut être qu’il faut enlever le droit aux femmes blanches bourgeoises de faire des films sur des sujets comme ça (je rigole) (on sait pas si je rigole)