Titre : Au poste !
Scénario : Q. Dupieux
Durée : 1h13 - 73 minutes
Sortie : 07/2018
Assistants réalisateurs : Romain Cross, Jules Baudat
Producteurs : Mathieu Verhaeghe et Thomas Verhaeghe. Image et montage : Quentin Dupieux
Étalonneur : Fabien Napoli. Son : Guillaume Le Braz
Montage son : David Vranken
Décors : Joan Le Boru. Costumes : Isabelle Pannetier
Maquillage : Milou Sanner
Effets visuels : Olivier Tournayre
Générique : Fred Roz
Production : Atelier de Production, Cinéfrance, Umedia, Nexus Factory
Directeur de production : Stéphane Avenard et Romain Cros
Distribution : Diaphana D.
Superviseur de post-production : Abraham Goldblat
Pays d'origine : France
Langue : français
Genre : Comédie
Durée : 73 minutes
Date de sortie : 4 juillet 2018
Casting ordre alphabétique : Anaïs Demoustier (Fiona), Philippe Duquesne (Champonin), Marc Fraize(Philippe), Michel Hazanavicius (policier 1), Grégoire Ludig (Fugain), Orelsan (Sylvain), Benoît Poelvoorde (Buron), John Sehil (Franchet),
Alain Chabot crédité au générique pour les cris de douleur (Wikipedia. https://fr.wikipedia.org/wiki/Au_poste_!)
Les critiques des Cahiers du Cinéma ont donné une note de 5/5 au film. Un professeur, un critique, un chef d'entreprise, un chef d'entreprise doit toujours motiver une appréciation notée ou pas. Aussi, ai-je mis 4/5 au film, parce que ce scénario est fait pour rire. Je dois avouer qu'il restera dans ma mémoire comme ces films que je vais voir lorsque mon moral est au 36ème sous-sol.
Enfin, Je souhaite aux acteurs de diversifier leurs choix artistiques par la suite et de ne pas se laisser enfermer. Je m'engage à leur fournir le scénario (flingue sur la tempe compris, de préférence un Moser ou un Glock). Je me présente. Claudie Zehnacker pour vous servir.
Je voudrais bien réussir ma vie. Être critique aux Cahiers du Cinéma ou à Positif tant qu'à faire.
Je suis prête à travailler jour et nuit sur ma vieille machine à écrire datant des années 50 et donnée par Maman.
Donc, ce film mérite une mention spéciale concernant la mise en scène ô combien surprenante. J'ai - dérivé de "Je" - spectateur lambda, été surpris par le début, la fin du film, générique compris.
Évidemment, le dit générique fait appel aux sens aiguisés du cinéphile averti et aux aguets, jamais aux abois. La fonction première du cinéma n'est elle pas de surprendre ?
Dans l'élan du néophyte, j'oublie le clin d'oeil aux films d'horreur. Le classement dans ce genre m'étonnera toujours. J'aime exclusivement les films de vampires des années 30 et je ne comprendrai jamais la méthode de classement par genre. Je la déteste. Lisez s'il vous plaît le livre bleu des Cahiers du Cinéma écrit par Josef von Sternberg, mon dieu.
J'ai fait une mine dégoûtée lors du plan concernant l'équerre ! Je n'en ai pas l'usage au bureau. Encore moins un rapporteur ou un compas ! Cela dit, je comprend ce qui va se passer au plan suivant. Éclat de rire. Coupez ! Pause ! Reprise à 14h.
Je suis prête à mettre 4,5/5.
Ma prof de français était sévère mais juste. J'applique la même méthode. Mme Bouleau du lycée X en Seine-et-Marne, je vous salue bien bas.
Une acclamation nourrie pour les acteurs de "second rôle" dont on a souvent piétiné les performances. Certains critiques voient 100 à 200 films par semaine. Passé un certain seuil, les taux de suicide et d'abandon augmentent. A la poubelle, la bande annonce, le dosier de presse et la collection 128 de l'éditeur Armand Colin. Bravo Benoît Poelvoorde. Je suis venue à la projection pour vous. Une dépressive reconnaissante.
Claudie Zehnacker, le 21 juillet 2018 après J.-C. Avé Moi !
Avé Quentin Dupieux ! Avé le producteur !