Acteur puis monteur, Robert Parrish débute dans la réalisation en 1951 avec Cry Danger puis The Mob. Ce dernier comporte quelques figures imposées du film noir : le monde rude des dockers, un flic infiltré dans la mafia, un policier corrompu ... Rien d'original, évidemment. Mais le rythme ne faiblit pas, l'humour n'est pas absent, les dialogues sont incisifs et la violence sèche. Et aucune touche de glamour dans le casting avec des gueules comme celles de Broderick Crawford et Ernest Borgnine.

Cinephile-doux
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le 9 août 2019

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Cinéphile doux

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