Passée une première heure efficace ponctuée d’un moment de terreur assez mémorable, le film se dégonfle inévitablement, la faute à ce que j’appellerai le syndrome Longlegs. Partir d’un mystère réaliste pour arriver après un long tunnel de narration déconstruite à une explication fantastique donne le goût d’un cheveu sur la soupe et constituera toujours pour moi une trahison. Dommage car il y avait des choses réussies.
Créée
le 7 août 2025
Critique lue 27 fois
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