Avant Tarantino, indubitablement, il y avait Fukasaku, le maître des yakuzas sixties. Pas de grands discours, quelques claques, une caméra qui vogue sur la violence, qui cherche des nouveautés et qui les trouve avant de ralentir avec un portrait d'assassin sympathique, mystérieux et jusque-boutiste.
le profit l'intéresse, c'est certain mais la solidarité, les valeurs et la morale y sont liées. D'ailleurs, Fukasaku tournera plus tard "Combat sans code d'honneur" et "cimetière de la morale".
Andy-Capet
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le 4 nov. 2012

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