Oh le gros rat (spoil forcément moins pire que le film)
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le 1 janv. 2021
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Le film a été filmé en deux temps ; la deuxième partie, ce sont les plans de John Cusack qui a certainement tourné ses scènes en quelques jours vite fait bien fait. Le reste de l'équipe a aussi bossé en ajoutant des CGI plus élaborés.
C'est assez mauvais. L'idée, bien sûr, n'est pas mauvaise, mais le développement tourne au n'importe quoi, avec des personnages qui semblent agir selon les ordres directs du scénariste (cours, arrête-toi et entre dans cette pièce pour prendre un pistolet puis continue de courir). Les personnages sont mal développés, leur relation est assez peu intéressante. Les rencontres sont faibles, les méchants sont un peu débiles. Il y a un message derrière tout ça qui n'est pas inintéressant mais c'est un peu facile. Les conflits sont peu prenants, les résolutions bien trop faciles.
La mise en scène est parfois cheap (le premier tournage surtout) avec un découpage un peu approximatif, un montage tout de même rythmé, des effets spéciaux pas terribles ; et puis parfois ça marche parce que les acteurs sont bons : Cusack et Argenziano qui papotent, ça fonctionne assez bien, mais Argenziano tout seul ou avec les jeunes acteurs novices ça ne va pas. Et puis surtout y a ce jeune Julian Schaffner qui est très très très mauvais ; on sent qu'Eileen Grubba essaie de le tirer vers le haut, mais c'est peine perdue...
Bref, pas terrible.
Créée
le 30 janv. 2021
Critique lue 459 fois
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le 1 janv. 2021
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« Singularity » est un film médiocre, dont l’histoire, le développement et les visuels s’inspirent en de nombreux points, mais de manière maladroite à des références de la science-fiction comme «...
le 8 nov. 2017
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Image hésitante et tremblotante, effets spéciaux limités et inintéressants, comédiens mauvais ou ne tournant plus que dans des navets (John Cusack), histoire assez convenue et archi exploitée...sur...
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le 19 nov. 2017
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Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
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le 3 janv. 2016
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La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
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le 16 janv. 2011
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Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
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le 22 févr. 2014
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