Ce film 1) n’a rien à voir avec le chef d’œuvre d’Arthur Penn qui porte le même titre original 2) fut réalisé par un Arthur Ripley qui n’a rien à voir avec le Tom du même nom, personnage de Patricia Highsmith, et dont je n’ai rien vu d’autre.
Si je vous dis tout ça, c’est que je n’ai rien d’autre à dire sur L’Évadée, sauf que si, quand même, d’abord le film n’est ni nul ni génial.
Dommage que le romantisme noir de bon aloi bien servi au début par une Michèle Morgan qui, à défaut de me transmettre sa belle sueur des Orgueilleux, sept ans plus tard, est pas mal du tout, soit noyé sur la fin par une musique insupportable et une toute dernière phrase incroyable mais vraie.