Le grand vide
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Je vais commencer par saluer les équipes techniques, notamment la déco, les SFX et la HMC, parce que de ce côté-là, le travail est vraiment très bien fait. Rien à redire : c’est solide et soigné.
Mais alors… qu’en est-il du reste ?
Eh bien, c’est là que ça coince. J’avais peur d’être déçu, et finalement, ça a été pire que ça. Impossible de vraiment mettre le doigt dessus, mais tout m’a paru d’un autre temps.
Dujardin, que j’aime beaucoup d’ordinaire, se perd ici dans un jeu trop appuyé.
On finit presque par avoir de la peine pour lui, comme s’il s’était enfermé dans une histoire qui ne lui laissait aucune respiration.
Et pour ne rien arranger, le film s’offre la mauvaise idée d’être accompagné d’une voix off pseudo-poétique, qui ne fait qu’accentuer ce sentiment de film complètement has been.
Au fond, je n’ai pas grand-chose à en dire, parce que je trouve qu’il n’y a pas grand-chose à sauver. J’ai eu ce sentiment étrange que Dujardin n’était pas à sa place, ni dans son époque, ni dans ce film. Comme si tout ça appartenait aux années 2000-2010… et qu’aujourd’hui, ça ne prenait plus.
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le 26 oct. 2025
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