La jeunesse dévergondée du jeune Jed Bartlet, beau à croquer en James Dean, et d'une Sissy moins impératrice que redneck. Après le meurtre du père (tient, c'est pas une histoire d'amour rendue impossible par un daron revêche, cool), les deux fauves errent de cachettes en gâchettes, extérieurs à la société.

L'histoire d'amûr, les plans des grandes plaines, des ciels infinis ou de l'incendie originel sont putain de beau et on navigue à mille kilomètres des clichetons d'usage sur le tueur psychopathe qui dévore ses victimes.

En fait, je crois que j'aime bien Terrence Malick!
Marius
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Top Seventies et C'est décidé, je me paie une éducation

Créée

le 8 avr. 2011

Critique lue 777 fois

28 j'aime

1 commentaire

Marius

Écrit par

Critique lue 777 fois

28
1

D'autres avis sur La Balade sauvage

La Balade sauvage
Dimitricycle
8

Sheen impérial

"La Balade sauvage" (phénomène étonnant : on trouve Balade ou Ballade, c'est selon) avait été une claque pour moi. C'est une pellicule assez intéressante à plusieurs niveaux. Des films que j'ai pu...

le 15 juil. 2011

76 j'aime

40

La Balade sauvage
Sergent_Pepper
9

West wide story

La fuite des amants criminels est un motif qui, depuis l’âge d’or du film noir, est devenu un genre en soi. A la fin des sixties, sous l’impulsion de Penn et de son séminal Bonnie & Clyde, qui...

le 2 oct. 2018

67 j'aime

12

La Balade sauvage
Kalian
5

Critique de La Balade sauvage par Kalian

Il serait vain de nier la réussite formelle que représente ce film. Une photographie magnifique, une musique extraordinaire, des paysages somptueux, une réalisation bien classe, une interprétation...

le 31 oct. 2010

54 j'aime

7

Du même critique

The Dark Knight Rises
Marius
4

Bane à ordures

Jusqu'alors DKR signifiait, pour le geek averti, Dark Knight Returns. Une oeuvre majeure dans la bibliothèque de Batman. Quelque chose d'adulte et de complexe. Tout ce que n'est pas TDKR. Qui n'est...

le 19 juil. 2012

121 j'aime

130

The Artist
Marius
1

La blague américaine

En terrain conquis. Le mec de "la Classe américaine" à Cannes? Ça clignotait de partout: ce film est fait pour moi. 5h34 plus tard (en réalité, le film est un poil moins long), j'avais l'impression...

le 15 mai 2011

106 j'aime

66

Melancholia
Marius
10

Melancholia and the infinite sadness

Bon, Lars von Hitler à 8 heures du mat, c'était pas gagné (qu'est-ce qu'on ferait pas pour voir des films danois avant les autres)... Mais se réveiller devant un astre sombre, sombrer avec ces jeunes...

le 18 mai 2011

105 j'aime

23