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Wonder bras
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La formule s'essouffle...
S'il était évident qu'une suite devait dénouer le final de l'excellent premier volet ; une suite à "elle s'appelait scorpion" n'allait pas de soit.
L'impression d'une redite se confirme dès les premières minutes avec la réutilisation du thème original (Urami bushi) ; alors certes, l'univers carcéral est mis de côté. Sasori est hors des barreaux et il y a l'idée assez évidente (mais pas inintéressante) qu'on est jamais vraiment libre nulle part.
Reste que les bases : violences sexuelles/sexistes sont inchangées et que l'effet de surprise a disparu. Il y a même une surenchère dans le sadisme qui était probablement dispensable :
Je pense ici à la scène de l'avortement subi (sans aucune anesthésie) qui est d'une violence physique, symbolique et mentale assez rare.
Ce troisième volet souffre encore d'un manque de rythme assez flagrant pendant la première moitié du film ; la dernière demi-heure souffre également de certaines longueurs. C'est une première dans la saga où l'intrigue avançait précédemment à un rythme relativement soutenu.
Pour finir, le film s'offre tout du long des rebondissement assez tirés par les cheveux/voire totalement invraisemblable, inexplicables/inexpliqués.
En synthèse : malgré un changement notable avec l'abandon de l'univers carcéral, le déclin de la série se confirme.
5
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le 5 oct. 2025
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