Le piège des femmes
Premier film que je vois du critique Alexandre Astruc (je crois que je vais essayer de voir l’Éducation sentimentale) et c'est pas si mal. Je dois même dire que j'ai adoré la première moitié du film...
Par
le 30 sept. 2018
Les débuts du très littéraire Alexandre Astruc dans une adaptation d'une nouvelle de Barbey d'Aurevilly. Prix Louis Delluc 1952. Un moyen-métrage sans paroles dont l'histoire est racontée en voix off. Désir, plaisir, mort. L'univers sensuel et morbide de l'auteur des Diaboliques est fidèlement retranscrit avec une fulgurance romantique que permet la brièveté du récit. Anouk Aimée y est sublime, suprême pléonasme.
Créée
le 5 août 2019
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