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Voilà un film d'apparence classique vraiment atypique. on en attendait pas moins de paul thomas anderson. la mise en scène est millimétrée à bien des aspects. un sourire ou un regard rien n'est innocent; la relation que noue les acteurs principaux est à la fois passionnelle et vénéneuse. dominant et dominé, un rapport perpétuel s'établit dans le film toujours avec subtilité. un film très hitchcockien dans sa deuxième partie fesant penser à pas de printemps pour marnie. du grand paul tohmas anderson
Domination /20
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Créée
le 12 févr. 2020
Critique lue 87 fois
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