Cool cool cool, l’histoire joue avec les différents degrés de narration et brise le 4e mur. Comme un Kaléidoscope on y croise les différents niveaux de narrativité, allant jusqu’à interroger la véracité de l’histoire racontée. On ne sait plus si le personnage est un espion, un acteur, la victime d’une vaste supercherie. La trame narrative semble ainsi se morceler entre une enquête, un songe ou un délire complètement irrationnel.
Le jeu autour de la temporalité accentue cet aspect morcelé, flash back, retours dans le présent, délires et rêveries.
Personnages féminins très sexualisés et peu développés à se demander si il s’agit d’un film du siècle passé.
Sinon trop top