Brothers in arms
Dans le Los Angeles de l'immédiate après-guerre, superbement reconstitué, deux frères très proches (un homme d'Église et un détective) se font face après la mort brutale d'une prostituée. Film...
le 2 juin 2021
7 j'aime
Beuhh c'est un peu mou quoi.
Y a du bon : les deux frangins et leur rivalité/camaraderie. L'intrigue policière en soi n'est pas vilaine mais elle se traîne, les résolutions sont d'ailleurs vite expédiées à la fin, par rapport à cette mise en pace si lente qu'on a du mal à comprendre le lien entre les deux frères (on s'en doute, mais ce n'est clairement établi que longtemps après le commencement du film). Les conflits ne se ressentent pas assez, on est plutôt dans la découverte de choses un peu glauques (mais pas trop non plus).
La mise en scène est correcte, le découpage se suit agréablement, le rythme est approprié, les deux Bob font très bien le boulot. Les maquillages de début de film sont moches (surtout celui de DeNiro). Les décors sont corrects, les effets sanglants sont plutôt bien foutus. La BO passe. Les autres acteurs jouent bien aussi.
Bref, ça se regarde, mais ça manque d'épices !
Créée
le 10 janv. 2022
Critique lue 11 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Sanglantes confessions
Dans le Los Angeles de l'immédiate après-guerre, superbement reconstitué, deux frères très proches (un homme d'Église et un détective) se font face après la mort brutale d'une prostituée. Film...
le 2 juin 2021
7 j'aime
Sanglantes confessions fait partie de cette catégorie de films dont il s'est fallu de peu pour être vraiment excellent, malheureusement il lui manque cruellement quelque chose pour le considérer...
Par
le 13 juin 2018
6 j'aime
3
Je n'ai pas découvert "True confessions" lorsque j'étais minot, pourtant c'est tout à fait le genre de films qui ont forgé ma cinéphilie, et j'ai goûté dans ce faux polar passionnant tous les...
Par
le 8 déc. 2020
6 j'aime
8
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
121 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
115 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
103 j'aime
55