Chute libre !
Sans laisser de traces est un film qui tombe juste. Le casting est impeccable : François-Xavier Demaison en amis d’enfance toxique et Benoît Magimel en grand patron quadra rongé par la culpabilité et...
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le 6 nov. 2013
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La première partie du film peine un peu à lancer l'histoire : la bande-annonce en a trop dit pour que le charme opère tout à fait et on avance en sachant à quoi s'attendre, d'autant plus qu'il y a comme un faux air de Harry, un ami qui vous veut du bien dans tout ça et que du coup ça sent la redite. Puis la sauce prend enfin et c'est absolument captivé que l'on suit le déroulement de ce film noir finalement plein de surprises dans lequel Benoit Magimel interprète un anti-héros qui fait exactement l'inverse de ce que l'on attend d'un personnage de polar, c'est à dire accumuler les erreurs et s'enfoncer toujours davantage dans une spirale infernale.
Sans laisser de traces jouit d'un scénario riche et intelligent à la morale ambigue, de bons dialogues, d'une belle photographie et d'un casting impeccable, le tout emmené par une réalisation efficace.
Vachement bien !
Créée
le 4 juin 2016
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Sans laisser de traces est un film qui tombe juste. Le casting est impeccable : François-Xavier Demaison en amis d’enfance toxique et Benoît Magimel en grand patron quadra rongé par la culpabilité et...
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le 6 nov. 2013
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L'avantage du film dont on n'attend rien, "Sans laisser de traces" étant passé inaperçu lors de sa sortie, et dont on ne sait rien : du coup, les premières péripéties qui installent le récit,...
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le 28 oct. 2016
1 j'aime
La première partie du film peine un peu à lancer l'histoire : la bande-annonce en a trop dit pour que le charme opère tout à fait et on avance en sachant à quoi s'attendre, d'autant plus qu'il y a...
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le 4 juin 2016
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Etant moi-même handicapé, ce film me parle forcément de plus près qu'à un spectateur lambda : des potes para, tétra, j'en ai eu ; des qui sont morts trop tôt, aussi ; les centres de rééducation, j'ai...
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le 8 mars 2017
67 j'aime
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La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
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le 27 juin 2017
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4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
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le 27 mars 2018
50 j'aime
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