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Lame damnée .
La Chine. Le Moyen-Age. La mort tragique d'un père. Des bandits ultra-violent. Un triangle amoureux. Un bras en moins. Un tueur tatoué. Voilà ici les quelques mots-phares auxquels se raccrocher dès...
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Les bras m'en tombent qu'à moitié
Visuellement, j'ai toujours préféré le cinéma asiatique des années 60-70 ; je continue à penser que la beauté de l'image s'est tristement égarée depuis... Alors évidemment, ici c'est loin d'être moche. Mais le réal' a privilégié le dynamisme au contemplatif.
Le plus impressionnant est peut-être le fait de voir un réalisateur en phase avec son film : sa caméra est un sabre, et il le maîtrise. Il est précis et rapide, même dans ses zooms où dans ses accélérations. D'ailleurs, le rythme est parfois difficile à tenir du côté du spectateur. Une véritable démonstration d'art vidéo-martiale.
Ce qui plombe pas mal, c'est le scénario... Les personnages manquent de profondeur et de dialogue ; on peine vite à suivre le tout. Les grandes lignes sont faciles à suivre, mais le reste paraît un peu brouillon.
J'avais vu, en premier, l'abominable seven swords. The blade m'aura réconcilié avec Tsui Hark. Car ce film, malgré ses tares, nous offre un grand spectacle de performances, tant devant que derrière la caméra.
Le plus impressionnant est peut-être le fait de voir un réalisateur en phase avec son film : sa caméra est un sabre, et il le maîtrise. Il est précis et rapide, même dans ses zooms où dans ses accélérations. D'ailleurs, le rythme est parfois difficile à tenir du côté du spectateur. Une véritable démonstration d'art vidéo-martiale.
Ce qui plombe pas mal, c'est le scénario... Les personnages manquent de profondeur et de dialogue ; on peine vite à suivre le tout. Les grandes lignes sont faciles à suivre, mais le reste paraît un peu brouillon.
J'avais vu, en premier, l'abominable seven swords. The blade m'aura réconcilié avec Tsui Hark. Car ce film, malgré ses tares, nous offre un grand spectacle de performances, tant devant que derrière la caméra.
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Créée
le 15 juil. 2012
Modifiée
le 9 sept. 2012
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1 j'aime
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