Critique by NєσLαιη
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On vous dit : Stephen King, Tobe Hooper et Robert Englund. La première réaction est de penser qu’on a affaire au moins à un putain de bon film de série B horrifique comme on en faisait dans les années 80. Mais au final on a quoi ? Une sombre bouse.
Ok, il est vrai que faire d’une presseuse, un instrument de mort tout en restant sérieux, c’est compliqué. Je le conçois. Tout comme rajouter une glacière tueuse… En fait quand je relis ces lignes je comprends direct qu’avec une telle histoire, il est impossible d’en faire un bon film. Seule solution en faire un nanar…
Car bon déjà niveau suspens, c’est loupé. On sait déjà que toutes personnes qui s’approchent de la machine se font attaquer. Et puis non, soyons franc, c’est pas possible de prendre au sérieux ce postulat. Mais en plus, on nous rajoute un maximum de situation toutes plus ridicules les uns que les autres. Nous servant même un exorcisme final dans la plus grande tradition du z. Quand au dialogue c’est à se pisser dessus de nullité.
Et puis vous pourrez admirer le fabuleux jeux d’acteur d’un Robet Englund qui cabotine à en être énervant et un Ted levine amorphe et déprimant.
La très mauvaise qualité du film aurait pu être pardonné pour son côté nanar, hélas, cela n’est pas cherché ni assumé, car le film baigne dans un sérieux ambiant qui confirme juste ce que l’on pensait depuis le début :
Ce film n’est pas un sympathique nanar, c’est une sombre bouse.
Créée
le 15 avr. 2015
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