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Complexes deux types
The Master, et c'est l'apanage des grands films tels que je les perçois, cache derrière sa perfection esthétique, sa classe et sa mise en scène d'une précision horlogère, des tournures narratives un...
il y a 9 ans
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Et toutes les mises à jours sont à retrouver ici : journal de bord de SensCritique.
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The Master, et c'est l'apanage des grands films tels que je les perçois, cache derrière sa perfection esthétique, sa classe et sa mise en scène d'une précision horlogère, des tournures narratives un...
il y a 9 ans
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Si j'écris cette critique, c'est bien plus pour tenter de clarifier mon sentiment vis-à-vis du film que pour réellement lui accorder sa vraie valeur. En effet The Master est le genre de film très...
il y a 9 ans
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Paul Thomas Anderson peaufine son art de film en film. Après la frénésie de ses débuts et de ses films chorales tous impregnés d'une insouciance formelle manifeste, le cinéaste américain semble...
il y a 9 ans
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Impossible de parler de ce film sans en dissocier absolument la forme souvent somptueuse, du fond pour le moins déroutant, pour ne pas dire abscons. The Master, haute définition La (grande) forme...
il y a 9 ans
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A l'image d'un Terrence Malick de plus en plus insaisissable, Paul Thomas Anderson est un cinéaste passionnant, qui fascine autant qu'il énerve, indéniablement talentueux, réalisant ses films avant...
il y a 9 ans
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Décidément Thomas Paul Anderson n’est jamais où on l’attend. Sa filmographie semble échapper à toute tentative de réduction ou d’appréhension. Et si The Master illustre quelque chose, c’est bien...
il y a 9 ans
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Ce long métrage est d'une telle richesse thématique qu'il est facile de s'y perdre. La manipulation (d'un homme sur un autre, d'une femme sur un homme, d'un homme sur un groupe), la faiblesse...
il y a 9 ans
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J'aurais aimé sincèrement dire du bien de The Master . Je suis un admirateur du travail de Paul Thomas Anderson depuis Boogie Nights, premier film stupéfiant qui aurait pu etre signé scorcese sans...
il y a 9 ans
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Après « Magnolia » ou « There will be blood », Paul Thomas Anderson s’est peu à peu forgé une réputation de cinéaste indépendant reconnu par la critique (Ours d’or et d’argent à Berlin ou les deux...
il y a 9 ans
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Paul Thomas Anderson semble s’être trouvé, depuis There will be blood, un langage et un style adéquats (amples, maîtrisés, virtuoses), une thématique (les postulats fondateurs et tumultueux de...
il y a 9 ans