The Vampire Bat par Alligator
Etonnant petit film fantastique des années 30. Malavisé parfois il est vrai, la fin fonctionnant sur l'humour scatho est un des exemples de ces petites maladresses, le film propose une trame qui n'est plus originale depuis longtemps. Peut-être ne l'était-elle plus déjà à l'époque?
Quoiqu'il en soit, avec le fringant Melvyn Douglas et l'effrayant Lionel Atwill, le film trouve quelques attraits de talent.
Mais s'il faut trouver une raison essentielle, sinon vitale, c'est dans la beauté et la grâce qui illuminent sinon irradient la beauté étincellante de Fay Wray. Pas besoin d'aller chercher le grand singe qui est en vous pour que l'érection d'un monument d'admiration sinon de bave vienne célébrer le minois mignon et la silhouette sublime de cette femme. Certains auraient voulu être un artiste, moi j'aurais juste voulu être Melvyn Douglas, juste pour la prendre dans mes bras et tenter rien qu'une fois, de lui mettre la langue (sinon plus si affinités of course).