I Love Nic
Bon, ce n'est pas la grosse daube crainte/espérée (entourer la bonne réponse), mais c'est loin d'être génial. C'est dommage parce que ça aurait pu être un p'tit film bien glauque à la "8mm" (faudrait...
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le 17 avr. 2018
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Une B.O vraiment pas dégueu, une photographie assez bien léchée, des décors agréables, une bonne ambiance d'Amérique profonde, un suspense qui prend le temps de s'installer dans le cadre familier de l'inquiétant motel...
Si l'on oublie que ce film est sorti la même année que le génial Sale temps à l'Hötel El Royale, avec lequel il a en commun le dispositif du miroir sans tain qui donne sur une chambre où va se passer le pire (ici plus que dans le film de Drew Goddard, on pense au chouette livre-enquête de Gay Talese, Le motel du voyeur) et que l'on choisit de s'amuser des dialogues débiles, des personnages caricaturaux, des scènes à l'esthétique très soft porn des années 90 et du dénouement grandguignolesque, on passe un moment sympa.
Dans la catégorie "daubasse direct to DVD avec Nicolas Cage", on est exceptionnellement plutôt sur un bon cru - toutes proportions gardées.
Créée
le 2 oct. 2020
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Bon, ce n'est pas la grosse daube crainte/espérée (entourer la bonne réponse), mais c'est loin d'être génial. C'est dommage parce que ça aurait pu être un p'tit film bien glauque à la "8mm" (faudrait...
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le 17 avr. 2018
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Ray (Nicolas Cage), qui a une barbe assez particulière, et Maggie (Robin Tunney) décident de prendre un nouveau départ suite à la mort tragique de leur petite fille en achetant le Motor Way Motel...
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le 21 avr. 2018
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Une B.O vraiment pas dégueu, une photographie assez bien léchée, des décors agréables, une bonne ambiance d'Amérique profonde, un suspense qui prend le temps de s'installer dans le cadre familier de...
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le 2 oct. 2020
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Etant moi-même handicapé, ce film me parle forcément de plus près qu'à un spectateur lambda : des potes para, tétra, j'en ai eu ; des qui sont morts trop tôt, aussi ; les centres de rééducation, j'ai...
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le 8 mars 2017
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La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
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Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
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