Si Monsieur Paul Thomas Anderson a voulu faire une satire absurde à la « Don’t Look Up » ou à la « Eddington », eh bien c’est complètement raté.
Merci Paul Thomas Anderson de nous avoir servi un film de 2h50, qui aurait pu durer 1h de moins, si ce dernier n’avait pas trouvé super intelligent de nous pondre une intro d’1h digne d’un clip de musique, où les séquences s’enchaînent aussi vite qu’un montage de pub.
Merci Paul Thomas Anderson de nous avoir servi une narration tellement linéaire que le peu d’intérêt et d’enjeu qu’on aurait pu trouver dans le film finit par s’évaporer totalement.
Merci Paul Thomas Anderson de nous avoir balancé des scènes où l'on suit des personnages qui tournent en rond, le tout sous couvert d’une musique de piano insupportable qui prend la tête plus qu’autre chose.
Merci Paul Thomas Anderson de nous avoir servi des dialogues dignes d’étudiants en Licence 1 de ciné.
Merci Paul Thomas Anderson de nous avoir servi l’un des films les plus bourrés de clichés de ces dernières années.
Quand on a l’habitude qu’une poule nous ponde des œufs en or, on ne remarque même plus quand elle finit par nous chier dans la main.