il y a 6 jours
Le Mystère de la paroisse orange !
Avec ce troisième épisode, Rian Johnson poursuit son exploration du whodunit moderne, mais confirme aussi une tendance déjà perceptible dès le premier volet : plus la saga avance, plus l’enquête...
Voir le film
Nouvelle enquête pour le détective Benoît Blanc, et nouvelle tentative pour le réalisateur et scénariste Rian Johnson de tordre le cou à Agatha Christie et à ses schémas narratifs aujourd’hui désuets. Cette fois, c’est le mystère en chambre close qui passe sur le billot. La victime : un prêtre tyrannique et extrémiste. La scène de crime : un local technique d’où l’assassin ne peut s’échapper sans être vu des paroissiens. Sur le banc des suspects : une violoncelliste infirme, un praticien alcoolique, un écrivain à la popularité déclinante, une avocate et son demi-frère politicien 2.0, une servante bigote et un jardinier repenti. Mais c’est sur les épaules du jeune vicaire réformateur venu assister la victime dans ses homélies enflammées que repose le fardeau de la culpabilité.
A l’image de Glass Onion, l’originalité et la modernité qui préside à Wake Up Dead Man sont trompeuses. Certes, les profils de certains suspects répondent à des archétypes contemporains (même si le récit n’en tire finalement pas grand avantage). Certes, la traditionnelle démonstration publique finale est escamotée par le détective lui-même pour la ramener à un dialogue intime avec le coupable. Néanmoins, l’intrigue emprunte toujours les mêmes passages obligés du roman à énigme, une nouvelle fois étirés sur plus de deux heures de métrage. Wake Up Dead Man se révèle ainsi tout aussi prévisible et par endroits interminable que le précédent opus, mais moins pénible en raison de personnages moins vulgaires et d’une direction artistique divine.
Créée
il y a 3 jours
Critique lue 5 fois
il y a 6 jours
Avec ce troisième épisode, Rian Johnson poursuit son exploration du whodunit moderne, mais confirme aussi une tendance déjà perceptible dès le premier volet : plus la saga avance, plus l’enquête...
le 10 déc. 2025
Entre le pasteur Jud Duplencity ( Josh O'Connord ), qui soigne sa droite, dans l’hypothèse d’une contradiction un peu nerveuse. Tiraillé entre la honte du geste et la tentation d’une irrésistible...
il y a 3 jours
Le plus gros défaut de la désormais saga A Couteaux Tirés, c'est sans doute qu'elle ait été reprise par Netflix après le succès de l'opus inaugural. Car la plate-forme de streaming qui fait toudoum,...
le 6 févr. 2022
IRRÉDUCTIBLE fait office de bouffée d’oxygène au sein de la comédie française. Pas de personnages débiles. Pas de gag tarte à la crème. Pas de romance sirupeuse. Aucune sensation d’être pris en otage...
le 23 avr. 2024
Bien que vendu comme un succédané de John Wick auquel il paie par ailleurs son tribut au détours de quelques scènes, Monkey Man n'est pas une production qui joue la carte de la facilité, Dev Patel en...
le 25 juil. 2024
En bon anti-héros méta, Deadpool se devait d'être l’empêcheur de produire en rond de l’usine à super-héros : mettre en évidence les rouages du système et s’en moquer, avant d’en briser les codes dans...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique