Légendes Pokémon : Z-A
5.8
Légendes Pokémon : Z-A

Jeu de Game Freak, The Pokémon Company et Nintendo (2025Nintendo Switch 2)

Lorsqu’on parle de passage à la 3D compliqué pour certaines licences dans le jeu vidéo, on a tendance à penser à des jeux N64 ou PS1 un peu cassés qui ont fini par obtenir un statut culte de par leur médiocrité. Généralement, ça va aussi avec des résultats financiers catastrophiques, ou une sacrée remise en question.

Avec les jeux Pokémon développés par Game Freak, on peut avoir l’impression que les jeux d'une des franchises les plus rentables au monde continuent à patauger depuis 2013 avec les sorties de Pokémon X & Pokémon Y. Et si ce n’est pas forcément la technique des jeux 3DS qui laissait à désirer (on rappelle la nécessité de modéliser plus de 700 Pokémon à ce moment-là mine de rien), le manque de moyens se fait cruellement sentir depuis le passage de la série à la Switch, qui rappelons-le, accueillait The Legend of Zelda: Breath of the Wild dès sa sortie.

Aujourd’hui, Légendes Pokémon : Z-A est le 5ème jeu Pokémon développé par Game Freak à sortir sur la Nintendo Switch, et le premier à sortir avec une version Switch 2 dès son lancement. Les attentes étaient donc un poil plus importantes, notamment après les importantes critiques émises quant à la technique des jeux depuis leurs tentatives de mondes ouverts. En effet, exception faite des jeux Pokémon Let’s Go qui étaient particulièrement charmants, les jeux Pokémon de la Switch laissaient clairement à désirer sur ce plan, générant une frustration plus que justifiée.

À l’image d’un tuto un peu trop long, j’ai eu le sentiment que cette recontextualisation était importante pour ce qui va suivre.

Comme Pokémon X & Y qui ont inauguré l’arrivée de la licence sur une nouvelle console, Légendes Pokémon : Z-A est le premier jeu à sortir avec une version Switch 2. Leur autre point commun, c’est qu’ils se déroulent à Kalos. L’occasion de renouer avec la seule région n’ayant pas eu droit à un jeu supplémentaire ou une extension. Du coup, au moment de son annonce, les théories fusent :

> « Est-ce qu’on va enfin pouvoir visiter le sud de Kalos pour découvrir Marseille à la sauce Pokémon ? Les portes de la Centrale vont-elles s’ouvrir ? »

Et puis finalement, on nous fait très vite comprendre que le jeu se déroulera exclusivement à Illumis, plus grande ville de la région, et plus grande ville du monde Pokémon tout court. Si vous n’avez pas joué à X et Y et que vous avez échappé à toute image du jeu jusqu’ici, il faut également savoir qu’Illumis, c’est Paris, tout simplement.

Disclaimer : J'ai écrit toute la critique en pensant que depuis le temps on pouvait mettre des images dans les critiques ??? Désolé ça rendait moins indigeste dans ma tête du coup.

ICI C’EST ILLUMIS

Après une courte introduction, durant laquelle le choix de l’absence de doublage se fait tout de même bien ressentir, on pose le pied à la gare d’Illumis. On n’y retournera plus jamais, désormais, tout se passe ici, donc il va falloir se faire à la vie dans la grande ville, et à ses murs aux textures douteuses.

Vous l’avez compris, c’est le moment de parler de la technique du jeu, on ne peut pas trop y échapper. Ça n’est pas ma spécialité et je vais probablement répéter ce qui s’est déjà dit, mais allons-y.

Personne n’est passé à côté, la ville est particulièrement laide (#SaccageIllumis), les textures baveuses des murs et des trottoirs sont empirées par les murs entièrement plats. Les fenêtres et balcons sont privés de relief, et sont les mêmes partout. C’est d’autant plus triste que Paris est une ville qui change énormément en fonction des quartiers. Ici, la répétition des mêmes bâtiments parés des mêmes fenêtres copiées/collées à l’infini empêche totalement de se repérer dans la ville, et offre un rendu clairement pas à la hauteur de la licence, d’autant plus qu’on ne sortira jamais de la ville.

Les changements de décor s’opèrent uniquement dans les Zones Sauvages, ces quartiers réservés à la chasse aux Pokémon. Celles-ci ont chacune leur propre microclimat et architecture propice à l’apparition de certaines espèces. On peut donc se retrouver dans un parc enneigé ou dans une zone industrielle à deux mètres des beaux quartiers.

Cela dit, histoire de mettre de l’eau dans mon vin, le jeu tourne à 60 fps sur Switch 2 comme attendu, mais également à 30 fps constants sur Switch 1, une amélioration notable par rapport aux dernières versions (on nivelle par le bas, certes).

En revanche, je tiens à souligner quelques points qui selon moi participent à faire d’Illumis une ville où on se sent bien.

Tout d’abord, la ville est pleine de petits détails touchants. Que ce soient les cartes postales qu’on trouve dans les kiosques disséminés aux quatre coins de la ville, ou les affiches placardées sur les murs des ruelles, de nombreuses illustrations originales se cachent dans tout Illumis. Parmi elles, on note même la présence d’un petit sticker d’un Sapereau qui se coince les pattes dans les portes du train dans lequel démarre notre nouvelle aventure. Un détail qui ne sera visible que lors des deux premières minutes du jeu. Mais qui traduit bien l’envie de bien faire d’une équipe qui semble encore une fois souffrir d’un manque de moyens important.

Cela étant, ce qui apporte le plus de vie à la ville, c’est le soin apporté aux Pokémon eux-mêmes. Si certains ont droit à de nouveaux modèles plus expressifs, c’est notamment la myriade de nouvelles animations qui est surprenante.

Les Pokémon sont plus vivants que jamais, leur comportement est beaucoup plus adapté aux situations traversées, aussi bien pendant les combats que lors de moments de détente, à la terrasse d’un café ou sur un banc. Une évolution plus que bienvenue, tant les animations datées de la 3DS hantaient la licence depuis désormais plus de dix ans.

Autre surprise concernant la ville, c’est la verticalité de celle-ci. Dans Légendes Pokémon : Z-A, l’aventure se fait aussi bien dans la rue que sur les toits. Une fois les premières heures passées, notre personnage obtiendra même la capacité de flotter quelques secondes dans les airs afin de sauter d’un rooftop à un autre. Très franchement, un simple bouton de saut aurait été plus agréable, et le jeu aurait clairement pu se passer de ses phases de plateforme très moyennes (la marque des gros “JRPG” de l’année) qui servent à récupérer des collectibles.

Mais cette option apporte une nouvelle façon d’explorer la ville, qui se révèle être pleine de surprises et de petits passages cachés, récompensant régulièrement le joueur avec l’apparition d’un Pokémon un peu rare, comme un Riolu ou un Évoli.

Finalement, malgré un emballage clairement pas au niveau, on note un véritable effort sur l’exploration vraiment pas rassurante aux premiers abords. La ville en dehors des Zones Sauvages est bien plus intéressante à parcourir, et déborde de vie d’un bout à l’autre à l’aide de ses centaines de PNJ aux dialogues parfois très drôle. Inspiration parisienne oblige, on se plaint des loyers, du travail, du bruit, du maire… On s’y croirait presque. Ce sont d’ailleurs ces Illumisiens qui vous confieront un peu plus de cent quêtes annexes différentes, pas toutes intéressantes, mais aux récompenses souvent utiles. C’est surtout la meilleure façon de casser la routine de la nouvelle boucle de gameplay, centrée autour du Royale Z-A.

> Avant tout ça, il va quand même falloir se farcir le tutoriel. La quantité de nouvelles mécaniques justifie peut-être sa longueur, mais c’est de loin l’intro la plus longue et la plus frustrante de la série. On est forcé de suivre notre nouveau rival pendant quelques heures, tout en étant bloqué par des murs invisibles, alors qu’on ne demande qu’à se promener. Et se voir expliquer comment on capture un Pokémon après 30 ans de jeu, sans avoir l’option de passer tout ça, ça devient fatigant.

Problèmes d’insécurité en ville

Ce tournoi qui anime la ville chaque soir consiste à affronter un maximum de dresseur du coucher du soleil jusqu’à l’aube, afin d’accumuler des points. Avec assez de points, on remporte le droit de participer à un match qualificatif qui permet de monter de rang. On commence donc au rang Z, jusqu’à arriver au rang A, qui vient avec un souhait réalisé par la Société Quasar, mystérieuse entreprise à l’origine des Zones Sauvages. Le concept est simple, et se diversifie chaque nuit à l’aide d’objectifs annexes à remplir, poussant à jouer plusieurs Pokémon, et à s’infiltrer dans les rues pour attaquer le premier dresseur qui passe.

Et pas question de se promener dans les Zones de Combat sans vouloir se battre, ici, c’est quartier libre, et tout le monde se défoule, de l’écolier au policier.

Le jour, on explore la ville, on capture des Pokémon et on aide les habitants à résoudre leurs petits soucis. Le soir, on se bat sans aucune règle en vigueur, pour l’amour de la baston, tout simplement.

C’est également ici que se dévoile la nouveauté principale du titre, à savoir le système de combat, et ici, ça passe ou ça casse.

Exit le tour par tour hérité du GameBoy : Légendes Pokémon Z-A propose des combats en temps réel. Les Pokémon suivent le dresseur, qui se déplace librement, et les attaques se déclenchent plus ou moins vite en fonction de la stat de vitesse des Pokémon. Désormais, il faudra attaquer au bon moment, depuis le bon endroit, ou décider d’esquiver une attaque en fuyant ou en utilisant une capacité d’esquive. Difficile de ne pas comparer ces nouveaux affrontements à ce qu’on a pu imaginer il y a bientôt trente ans, après avoir vu quelques épisodes de la série animée. Ce nouveau système met aussi des capacités un peu oubliées au goût du jour, tirant parti du terrain, avec des obstacles, des attaques de zone ou des attaques téléguidées impossibles à esquiver. Cependant, à un certain niveau, ce système finit par montrer ses limites, et chaque combat se résume à savoir qui mettra K.O son adversaire le plus vite avec une attaque qui se lancera rapidement. Malheureusement, les talents ont disparu, rendant le retour des Méga un peu moins enthousiasmant que prévu. Cette transformation se résume alors juste à un changement de stats, voir de types pour certains Pokémon.

> L’unique mode de combat en ligne se résume d’ailleurs à un mini « battle royale », où le gagnant sera le dresseur ayant mis le plus de Pokémon K.O dans un temps imparti. Un passage quasiment obligatoire étant donné que trois Méga Évolutions sont des récompenses de ce mode.

Le dernier paramètre de progression consiste en une série de quêtes, justifiées par les besoins en recherches du Laboratoire Pokémon. À peu près tout ce que vous pourrez faire durant votre aventure est pris en compte pour ce niveau de recherches, débloquant lui aussi de nombreuses récompenses, dont le célèbre Charme Chroma qu’il faudra mériter.

Si c’est un petit plaisir de voir la jauge de recherche augmenter au fur et à mesure qu’on avance dans l’histoire, les derniers objectifs se résument à des sessions de farm sans trop d’intérêt une fois l’aventure principale terminée.

Dans l’ensemble, le post-game c’est l’usine, et à moins d’être complétionniste ou de vouloir collectionner les Pokémon Chromatiques, on peut certainement se contenter de l’expérience des 35 heures de jeu qui composent l’aventure scénarisée. Autrement, il faudra se préparer à capturer 50 Pokémon de chaque Type, remporter 1000 combats de dresseurs, et bien évidemment remplir le PokéDex, comptant 230 espèces différentes.

Leur arrivée en ville se fait au fur et à mesure de votre progression, permettant à la Société Quasar de mettre en place de nouvelles Zones Sauvages, et pour peu que vous exploriez la ville régulièrement, la complétion du PokéDex se fera assez naturellement.

Même si la nouveauté rend la boucle de gameplay assez charmante au début, elle n’a pas les épaules pour porter le jeu au-delà de l’aventure principale de façon satisfaisante. Le Royale Z-A s’essouffle une fois que votre équipe a accumulé assez d’expérience, alors que finir toutes les quêtes annexes nécessite de faire 20 matchs qualificatifs supplémentaires une fois l’aventure principale terminée. Une expérience pas forcément plaisante, à moins de vouloir expérimenter le système de combat avec des équipes différentes.

Les gens de Pokémon Z-A

LIGHT SPOILERS J’IMAGINE ? MAIS TRÈS LIGHT PROMIS.

Si le jeu a été une surprise dès son annonce, c’est notamment car on l’espoir d’un retour à Kalos s’était envolé depuis bien longtemps. Alors certes, cette nouvelle aventure se confine à Illumis, et on aurait aimé voir d’autres villes de la région mises au goût du jour. Cependant, contre toute attente, Légendes Pokémon : Z-A est bel et bien une suite à Pokémon X et Pokémon Y.

Les événements du jeu se déroulent 5 ans après, et la tentative de Lysandre de… mener l’espèce humaine à l’extinction, a laissé des marques. C’est par ailleurs pour cette raison qu’Illumis a perdu de son attrait, et que la Société Quasar s’est mis en tête de la rendre plus attrayante à nouveau. La Team Flare semble avoir été dissoute, et certains de ses membres ont visiblement décidé de s’intégrer à la société d’une façon ou d’une autre.

A.Z, le mystérieux géant est désormais propriétaire d’un hôtel pas particulièrement populaire, qui abrite la Team MZ, un groupe d’adolescents qui cherche à protéger la ville de la menace de Pokémon sauvages qui Méga Évoluent sans raison apparente. Ce phénomène appelé le “Méga Ferox” sert surtout à faire avancer l’intrigue au travers de scène avec tous les personnages que vous rencontrerez pendant l’aventure.

Dans Écarlate et Violet, on avait pu noter un effort fait sur l’écriture des personnages. Ici, l’effort semble avoir été poursuivi, et on se retrouve à faire face à un des castings les plus attachants de la série. Les personnages principaux sont bien écrits et ont tous droit à leur petit arc narratif, les choix de dialogue sont parfois très drôles, et certains personnages de la sixième génération font leur retour de façon assez inattendue. Ces derniers profitent beaucoup des thèmes abordés par le jeu.

Les événements passés laissent derrière eux beaucoup de regrets. Légendes Pokémon : Z-A devient alors une histoire de rédemption ou de vengeance pour certains, tandis que d’autres sont condamnés à la recherche de réponses. Par ailleurs, c’est - de mémoire du moins - le jeu de la série qui aborde le thème de la mort le plus souvent, aussi bien au travers de ses personnages principaux qu’avec les PNJ qui traînent dans Illumis. On reconnaît bien là l’effet d’une vie à Paris.

Enfin, petit aparté sur la bande-son du jeu, vu que c’est un point sur lequel on peut se permettre d’attendre Pokémon au tournant. Le seul souci à mes yeux, c’est qu’étant donné que l’intégralité du jeu se passe à Illumis, le thème de la ville tournera en boucle tout au long du jeu. Avec des variations, certes, mais au bout de quelques heures, vous l’aurez en tête pour les semaines à venir. En revanche, les thèmes musicaux des personnages ainsi que tous les thèmes de combat sont parmi les meilleurs de la licence.

Et pour cause, on retrouve des gros noms de ce côté :

Go Ichinose, habitué de Pokémon depuis Pokémon Or et Argent est accompagné de Shinji Hosoe, connu pour son travail sur la série Zero Escape, Hiromitsu Maeba qui a composé pour les Great Ace Attorney, Devil May Cry 5 et Monster Hunter Stories, ou encore Insaneintherainmusic, dont les arrangements jazz ont fait la popularité sur YouTube.

Cette équipe (non exhaustive) offre une variété inédite à la bande-son qui se retrouve à nous faire combattre sur de l’electro-swing et autres arrangements qui font chaud au cœur en tirant sur la corde de la nostalgie des temps plus simples de 2013 où on pouvait jouer à un jeu de merde sans avoir à écrire une review de 6 pages word pour se justifier.

Conclusion

Légendes Pokémon Z-A est très loin d’être un mauvais jeu. C’est une aventure originale, qui propose enfin de faire vraiment bouger les choses du côté du système de combat. Ce dernier n’a bien évidemment pas la profondeur d’un système affiné sur presque trente ans, et n’a pas vocation à remplacer ce qu’on connaît déjà. Mais le temps d’une aventure d’une trentaine d’heures, c’est un vent frais plus que bienvenu, qu’on rêve de voir approfondi.

Difficile aussi de ne pas être touché en plein cœur par les Pokémon qui semblent plus vivants que jamais, par les illustrations cachées dans toute la ville et le musée qui fait la part belle au jeu Légendes précédent.

En revanche, tout le monde le sait, mais ça n’est pas un jeu à la hauteur de ce qu'engrange Pokémon.Et ça devient épuisant de se répéter sur ce point. Alors bien sûr, le jeu vidéo n’est pas le seul marché de TPCI et il semblerait qu’un budget assez faible soit dédié au développement des titres. Mais quand on se retrouve à jouer à un jeu aux graphismes dignes d’un shovelware, difficile de ne pas grincer des dents. La licence mérite mieux, et même si l’effort fait sur les Pokémon eux-mêmes fait plaisir aux fans, je ne peux que comprendre ceux qui décideront de faire l’impasse sur les derniers jeux en date.

Et c’est malheureux, car je suis convaincu qu’à ce jour, c’est le Pokémon de Game Freak le plus fun et le plus touchant depuis leur passage à la 3D. Si vous parvenez à terminer ce tutoriel qui traîne un peu trop, vous vous retrouverez à faire du parkour pour capturer votre Pokémon préféré, à acheter un matching outfit, et à prendre des photos avec en terrasse d’un café. Après tout, c’est peut-être juste de ça dont on a besoin.

C’est un jeu difficile à noter parce que je me suis très sincèrement éclaté, j’ai beaucoup ri et j’ai préféré la boucle de gameplay à celle de Légendes Pokémon : Arceus. Malgré tout, les défauts sont trop importants et surtout trop visibles, le post-game est décevant et bien trop répétitif pour donner envie d’aller jusqu’au bout, et le rythme de l’histoire n’est pas tout à fait maîtrisé.

Alors voilà, si vous n’êtes pas fan de Pokémon, ça peut être compliqué d’adhérer. Dans le cas inverse, j’ai du mal à croire que vous n’y trouvez pas votre compte. Dans tous les cas, j’ai envie de croire que la licence continue d’aller dans le bon sens, et que le jeu qui célébrera les trente ans sera à la hauteur de ce qu’il représente. On en reparle certainement l’année prochaine.

Aurablade
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le 27 oct. 2025

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